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07/07/2017

le poème du jour ♣♣♣ Alternative santé

 

Ce poème, je l'ai trouvé sur un site anglais, alors que je cherchais autre chose, un autre poète, celui-ci s'est affiché et je l'ai trouvé beau dans sa simplicité, c'est comme si Sarah vous parlait au-delà de la tombe. Le poème que j'ai traduit, sa version originale anglaise dessous :

 

Rappelle-toi quand

 

 

Rappelle-toi les jours de notre jeunesse,

 

où nous voyions le monde avec des yeux innocents

 

et contemplions les étoiles dans leur merveilleuse éternité.

 

Quand tout était simple et bon.

 

 

Rappelle-toi ces jours, il n'y a pas si longtemps,

 

nos yeux n'étaient plus innocents et les étoiles ne nous captivaient plus.

 

Nous ne voulions rien tant que d'être forts, les meilleurs des meilleurs.

 

Quand nous voulions simplement être libres et savoir qui nous étions vraiment.

 

 

Rappelle-toi  hier, quand tu es parti.

 

Quand être le meilleur des meilleurs n'était plus suffisant

 

et que ce qui t'importait était d'obtenir le pouvoir.

 

Quand mon amour n'était plus suffisant.

 

 

Rappelle-toi aujourd'hui,  quand tu es revenu et qu'il était trop tard.

 

Tous avaient évolué vers des choses plus grandes et meilleures,

 

en mettant derrière eux les illusions égoïstes et insignifiantes.

 

Quand tu as oublié pourquoi au juste tu étais parti.

 

 

Rappelez-vous le jour de votre retour et que je m'en étais allé(e)

 

Seul mon nom existait encore, gravé sur la pierre tombale.

 

Lorsque vous avez finalement réalisé ce que vous aviez perdu.

 

Vous rappelez-vous quand vous m'aimiez ?

 

Sarah Child

 

 

Mon commentaire : Sarah Child n'est plus une enfant pour écrire un tel poème. Pas une revenante non plus. Quelle voix lui a murmuré ce poème inspiré ? 

Le lien pour trouver le poème dans sa version originale :

https://www.poemhunter.com/poem/remember-when-21/#content

 

♣♣♣

 

Au sujet des vaccins :

 

https://www.alternativesante.fr/vaccins/page/1

 

 

 

 

 

 

06/07/2017

Jacques a dit

 

Jacques a dit :

 

" In order to improve the mind, we ought less to learn, than to contemplate"

 

"Afin d'améliorer l'esprit nous devrions moins apprendre que contempler", en fait ce serait Descartes qui aurait déclaré cela. La lecture de cette pensée tombe à pic car elle coïncide avec une autre, plus longue, en diagonale, faite hier soir par moi-même, d'un polar qui trainait par là, en fait pris au hasard dans l'étagère. Il raconte une histoire horrible de grand amateur d'art,  voyeur,  probablement parce que petit il vit ses parents accomplir l'acte sexuel, qui alimenta son traumatisme en contemplant des tableaux de sa collection privée... érotique ou pornographique... érotique car la mise en scène est peinte par petites touches allusives, suggestives,  de main de maître, sauf que l'effet est pornographique, digne de celui d'un film X hard  sur le personnage du livre quand il  contemple ses tableaux, si négatif,  qu'il débouche sur un désir de possession d'une pauvre jeune dame dont, dans cette triste histoire,  on tua l'être aimé, son compagnon, pour se la mettre en bouche sans obstacle inopportun. Le "possesseur" de la dame,  par amant interposé choisi par lui,  en voyeur,  chosifia cette dame qui ne savait pas qu'elle était vue lorsqu'elle céda aux avances de l'intermédiaire, lequel avait tué son infortuné compagnon. Le critique dit en quatrième de couverture que la scène érotique finale est torride... je réagis quant à moi plutôt telle "la fille de King Gong" pour le coup mais pas tout à fait car je ne m'évadais pas vers Cervantès et lisais avec attention différentes scènes-clé de ce livre, satisfaite de la tranquillité de mes hormones. Y a t-il un âge  pour les maîtriser ? Pour certains c'est une question de conformation  naturelle. Tout le monde n'ayant pas le privilège de la totale maîtrise... et cela pouvant tourner très mal comme on le voit dans ce bouquin, j'en déduis humblement qu'il ne faut pas contempler n'importe quoi pour améliorer son esprit, n'en déplaise à Descartes en personne dans tout l'éclat de son génie indéniable. Mais Van  Gogh ne suscita pas ce genre de choses bien sûr. Susciter le sublime, c'est peut-être cela, l'art.

 

 

 

 

13:49 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

L'aventure du petit matin

 

Ce matin je me suis aventurée dans un coin de Béthune très urbain, pas du tout piétonnier, je dirais même "anti piétons" quoique quelques-uns s'y aventurent,  des étudiants par exemple qui n'ont pas encore  pu se payer une voiture (une rime par inadvertance... que je laisse, mais vous pouvez rectifier avec "auto" si vous la trouvez mal venue). Je me suis introduite dans ce secteur à vélo car je voulais repérer où se trouve la clinique Ambroise Paré, c'est là en effet que mon vieux papa de plus de quatre vingt dix ans va se faire opérer bientôt. Quand je peux, et je peux souvent, j'évite ce genre de fourmilière rugissante  à quatre roues ;  je voulais donc repérer pour plus d'assurance le jour J,  à quel endroit se trouvait exactement la clinique, et où était la bretelle d'accès au parking car j'y conduirai (en voiture évidemment) ma mère en visite du paternel, lequel  se fera quant à lui sans doute conduire en ambulance. Mission accomplie, repérage fait... par contre, une fois l'embranchement pris du boulevard Kennedy, sans piste cyclable, j'avais l'impression de pouvoir y laisser ma peau à quelques occasions où je sentais le frôlement des bus. Remise juste de quelques semaines d'une asthénie hivernale, la démarche était improbable et donc doublement aventureuse....aller respirer tout ce diésel... mais bon j'étais engagée et je continuais avec précaution parmi ces tonitruants poids lourds assourdissants et puants, juchée sur mon vélo ou à pied en tenant ferme le guidon, tout en faisant le son du souffle du cœur, que j'ai appris en suivant plusieurs fois la vidéo de Valérie-Anne de 'Coeur-Accord". Et le cœur tint bon... toujours tranquille, mais dans ma tête je me suis vue à un moment donné telle une Monica Bellucci (qui se serait délestée d'un peu de son irréprochable plastique),   dans le film qui passa avant-hier à la télé... en pleine Mongolie hostile, hantée par des monstres bouffeurs d'enfants, Monica s'enfonçait à la recherche de son fils adoptif...  mon vieux papa et ma vieille maman sont devenus à leur âge avancé comme un fils adoptif et une fille adoptive en quelque sorte d'où que cette image dans ce décor infernal me soit venue à l'esprit. 

 

Merci Valérie-Anne :

 

https://www.youtube.com/watch?v=K0K5iuITisg