20/02/2019
Assimilation
Dans la journée ces temps-ci, environ une demi-heure à une heure d'écoute de la radio. Toujours pas de télé.
Dès le lever, après avoir fait la séance que je nomme La Montagne qui se déplace, je regarde sans bouger celle-ci, tout en écoutant la musique, et j'assimile :
Les personnes incarcérées en cellule, à partir du moment où elles ne souffrent pas d'une infirmité motrice, pourraient trouver la voie du calme intérieur, que j'imagine difficile à trouver en cellule, grâce à ce genre de séance.
Évidemment ce n'est pas une obligation. Mais pour moi, c'est une révélation. Un accord de l'esprit avec le physique, entre état psychique et physique.
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19/02/2019
Lu ce soir
"Jacques de Jésus (Lucien Bunel)
Le silence, le recueillement, voilà deux mots qui semblent démodés dans notre siècle de la vitesse et de l’agitation, bien plus ce sont deux mots qui font souvent horreur à notre monde moderne. Et pourtant, si on savait la puissance de formation qui possède la réalité signifiée par ces deux mots, si on connaissait surtout la suave douceur qu’ils versent dans l’être qui sait se les appliquer, les faire passer et les réaliser à travers toute sa vie !
Province de Paris de l’Ordre des Carmes Déchaux, Tenir haut l’Esprit – Père Jacques de Jésus (Editions du Carmel, 2007)"
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Lu tout à l'heure sur le site Marie de Nazareth ♣♣♣ La montagne se déplace
"Le Dieu de la Bible souffre devant le mal et devant la souffrance
Elie Wiesel a subi la souffrance d’Auschwitz. Il a publié dans la presse un texte dont je cite un extrait : « Dieu de justice, Dieu de bonté, Dieu d’amour, où étais-Tu quand on persécutait Ton peuple ? Il est permis dans notre tradition de Te questionner. D’Abraham à Moïse en passant par Jérémie, dans toute la littérature biblique, nous découvrons des cris contre la justice divine. Dans ses “Lamentations”, Jérémie écrit : “Tu as tué sans pitié. Tu vois Tes enfants humiliés et Tu restes silencieux.” Cependant, je me suis demandé : peut-être suis-je injuste ? Après tout, Auschwitz n’était pas le produit de Dieu mais le produit des hommes. Auschwitz avait comme but non seulement de nous détruire mais aussi de Te détruire. Pourquoi ne pas songer également à Ton chagrin, Toi, père de l’humanité ? En regardant Tes enfants souffrir n’as-Tu pas souffert comme eux, avec eux ? » (Le Figaro Magazine, 4 septembre 1999)"
♣♣♣
Telle une éléphante un peu pataude mais finalement pas tant que cela, je l'ai fait ce qi gong de la montagne qui finit par se déplacer. La montagne était en nage ! :
15:14 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)