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21/03/2019

Le don de poésie ♣♣♣ Le pouillot véloce est revenu d'Afrique pour un séjour dans des secteurs européens

On ne parlait pas de Gertrude sur le Web, aussi l'auteure du blog dont j'ai mis le lien dessous s'en est chargé. Gertrude Tooley Buckingham est née au dix-neuvième siècle (fin 19è) ; les grands parents de l'auteure du blog connaissaient sa famille. Cette poétesse a enduré une perte douloureuse quand sa fille est morte dans un accident (Doris) et elle a reçu le don d'écrire des poèmes dès lors. 

 

Le lien du blog qui parle de cette poétesse :

https://quotegarden-terri.blogspot.com/2014/12/introducin...

 

So many problems, so many snags
To untangle every day;
So many perplexing things in life
That keep us from being gay!
So many days that are drab and dull
That we're filled with deepest woe,
And we give way to discouragement,
Our dangerous, mortal foe.—
A foe to our joy and happiness,
A foe to our peace of mind,—
It's something we all have to conquer
If contentment we would find!


~ Gertrude Tooley Buckingham

 

♣♣♣

 

Il a le don de les reconnaître à leur chant, un don qui paraît-il pourrait se conquérir.

16:09 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

la phrase ♣♣♣ S'essuyer le popotin n'est pas un acte gratuit pour la planète

 

Il se passe cela dans leur cœur

 

Poème de Marie-Rose : CREPUSCULE

 

Lorsque le jour descend, quand le soleil rougit,
 Et que l'ombre grandie annonce déjà la nuit,
 Quand les rayons dorés, commencent à décliner,
 Alors, dans ma tristesse, me sentant délaissée,

 

Lorsque de la passion, arrivent les prémices,
 Que les fleurs se referment, ondulant leurs calices,
 Exhalant au jardin, de leurs coupes, les parfums,
 La souffrance croissant, une angoisse m'étreint.

 

Je me sens envahie d'une grande faiblesse,
 Et je pense au Seigneur, au soir de sa détresse.
 Au seuil de la souffrance, voyant venir la croix,
 Là du fond de mon coeur, jaillit un cri de foi.

 

Apercevant du ciel, l'heure de la délivrance,
 Je mets dans le Seigneur, toute mon espérance.
 Et pour lui assurer encore mon amour,
 Je fais sa volonté, lui demandant secours.

 

 

Poème d'Alice : Haïku

 

Et mes yeux s'ouvrent enfin sur le prunus en fleurs ;
Pétales délicats qui caressent mon cœur.
Dieu m'annonce doucement un nouveau printemps.

 

Lu sur Hozana ce matin.

 

Le mien :

 

Ce matin

m'attendent en souriant

les vieux chênes odorants

 

Le sien :

 

 

08:14 Publié dans Musique | Lien permanent | Commentaires (0)