02/04/2019
Lu ce matin à propos d'un résistant ♣♣♣ Quand un A-DIEU s'envisage ♣♣♣ Elle apparaît en Égypte ♣♣♣ Le poème lu à haute voix
"Bienheureux Giuseppe Girotti (1905 - 1945)
Il est né à Alba en Italie le 19 juillet 1905 dans une famille modeste… Brillant dans ses études, plein de vitalité et très gai de caractère, il entre au séminaire dominicain de Chieri et est ordonné prêtre le 3 août 1930. Il se spécialise dans l'interprétation des Écritures Sacrées à l’Angelicum à Rome et à l’École biblique de Jérusalem, puis se consacre à l’enseignement au séminaire théologique dominicain de Turin.
Tenu en haute estime pour sa vaste culture, il aimait exercer le ministère sacerdotal aussi parmi les pauvres et les humbles, plus spécialement à l’hospice des "Pauvres Vieux". Puis vinrent les années de souffrance et les épreuves, acceptées avec humilité: on l’empêcha d’enseigner et il fut transféré au Couvent Saint Dominique dans le centre de Turin. Il continua cependant ses recherches dans le domaine biblique, alors qu’il intensifiait l’exercice de son activité caritative.
Tout ce que je fais, je ne le fais que pour la charité, disait-il avec candeur.
Après le 8 septembre 1943, avec l'occupation allemande et la naissance de la République Sociale Italienne, Giuseppe Girotti est au centre d’un vaste réseau de soutien en faveur des juifs, pour lesquels il est animé d’une affinité culturelle mûrie au cours des années de son séjour à Jérusalem et développée ultérieurement avec ses études bibliques, et il s’engage à trouver des cachettes sûres et des faux papiers.
Il est arrêté pour son activité contraire aux lois fascistes et nazies… Il est emprisonné à Turin. Malgré les efforts de son prieur pour le faire libérer, il est transféré d’abord à Milan, puis au camp de Gries à Bolzano et enfin, le 5 octobre 1944, à Dachau. Selon le témoignage de don Angelo Dalmasso, un autre prêtre qui a partagé sa détention, Girotti s’y distinguait par sa générosité envers les autres détenus, pour son attitude ouverte et comme "porteur de la Parole de Dieu". Il tombe malade et il est transporté à l’infirmerie.
C’est là que le 1er avril 1945, le jour de Pâques, il meurt avant d’avoir atteint l’âge de quarante ans; sur sa couchette ses compagnons écrivirent: "Ici dormait Saint Giuseppe Girotti"."
Sur Hozana
♣♣♣
Quand un A-DIEU s'envisage :
https://www.jubilate-deo.com/2019/03/31/morceaux-choisis-...
♣♣♣
"A partir du 2 avril 1968, à Zeitoun, dans un quartier populaire situé au nord du Caire, en Egypte, où la tradition disait que la Sainte Famille s’était arrêtée, des foules entières ont vu la Vierge apparaissant au-dessus de la coupole centrale d’une église copte, pendant des heures, plusieurs fois par semaine, sur plusieurs années.
Ceux qui voyaient la Vierge n'étaient pas seulement les Chrétiens, coptes, catholiques ou orthodoxes, mais aussi, et même en majorité, les Musulmans. Beaucoup ont bénéficié de guérisons miraculeuses et ces faits, connus dans toute l’Egypte, ont fait l'objet de témoignages innombrables, d'enquêtes, de reconnaissances officielles, de multitudes d’articles de journaux et de revues dans le pays, pendant des années.
La Vierge n'a pas prononcé un seul mot. Elle venait à l’improviste, le plus souvent la nuit, dans des attitudes et des vêtements variés. Les plus éclatantes apparitions eurent lieu entre le 27 avril et le 15 juin 1968. A partir de 1970, elles furent moins fréquentes, environ une par mois, même si certaines furent très spectaculaires."
Hozana
Commentaire : elle n'a pas prononcé un mot et ceux qui la voyaient la reconnaissaient comme telle : la mère de Jésus.
Bernadette Soubiroux, quand elle lui a demandé de se présenter, Marie a répondu "Je suis l'Immaculée conception', des termes qui n'étaient pas dans le vocabulaire de Bernadette.
Pourquoi ceux qui la voyaient à Zeitoun l'ont-ils reconnue comme étant la Mère de Jésus ? Se présentant à l'endroit précis d'une église cela mettait sur la voie, certes. À Lourdes, il s'agissait d'un coin de nature près d'une source et elle apparaissait dans la cavité d'une grotte, Bernadette parlait d'une dame. C'est le prêtre qui lui a dit qu'à la prochaine apparition, il fallait lui demander qui elle était.
Le monde de l'invisible qui se taille une brèche dans le visible ! Tant qu'à avoir des apparitions, autant que ce ne soit pas un démon qui montre le bout de son nez.
Cela dit, j'y crois, aux apparitions de la mère de Jésus. Qui ne se montre qu'aux Justes. N'ayant pas eu l'honneur encore de la voir, me reste à méditer sur le juste. Quelque part cependant, sans entendre des voix tel Muhammad et bien d'autres mystiques, je l'entends dans le sens d'entendre sa demande de fidélité au message de Jésus, le principal étant la charité.
♣♣♣
Line Drive Caught by the Grace of God
Half of America doubtless has the whole
of the infield’s peculiar heroics by heart,
this one’s way with a fractured forearm,
that one with women and off-season brawls,
the ones who are down to business while their owner
goes to the press. You know them already, the quaint
tight pants, the heft
and repose and adroitness of men
who are kept for a while while they age
with the game. It’s time
that parses the other fields too,
one time you squander, next time you hoard,
while around the diamond summer runs
its mortal stall, the torso that thickens,
the face that dismantles its uniform.
And sometimes pure felicity, the length
of a player suspended above the dirt
for a wholly deliberate, perfect catch
for nothing, for New York,
for a million-dollar contract which is nothing now,
for free, for the body
as it plays its deft decline and countless humbling,
deadly jokes, so the body
may once have flattered our purposes.
A man like you or me but for the moment’s
delay and the grace of God. My neighbor
goes hungry when the Yankees lose,
his wife’s too unhappy to cook,
but supper’s a small enough price to pay,
he’d tell you himself, for odds
that make the weeks go by so personal,
so hand in glove.
11:08 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)
01/04/2019
Merci les écrivains ♣♣♣ je décrypte avec Décrypt'art
Merci les écrivains. Ceux qui écrivent des notes, des articles, des poèmes, des romans, des nouvelles... c'est se fendre d'un bel effort à saluer la plupart du temps, quand il ne s'agit pas d'un simple exutoire mais d'une réflexion ou d'un lâcher prise en poésie.
Lu à l'instant un texte riche. Et facile à lire. De la réflexion et de la poésie :
Extrait :
De la même manière que des gens dépendent de vous, vous aussi, vous dépendez de vous. La personne que vous êtes maintenant a été comblée sous multiples formes, petites ou grandes, par les précédentes versions de vous-même. Tel le coureur dans une course à relais, vous passez le bâton chaque jour à celui que vous serez au réveil, le lendemain matin. Pensez à ces nombreuses choses positives que vos précédentes versions de vous-même ont apportées à votre vie : les problèmes résolus, les objectifs atteints, la vaisselle faite, les relations mûries, les leçons apprises. C’est simple et puissant : remerciez-les silencieusement. Comment vous sentez-vous ?
En attendant, regardez comment la future version de vous-même dépend de ce que vous faites aujourd'hui. Doucement, sans forcer, acceptez que cette future version compte sur vous, à cet instant. Qu’est-ce qu’il pourra souhaiter, cet être-là, que vous soyez? Que pourriez-vous faire cette année, ce jour, afin que votre future personne crée - dans son âge moyen ou dans sa vieillesse - une existence en sécurité, en bonne santé, heureuse, confortable ?
A la fin, soyez honnête avec vous-même quant à vos besoins et à tout ce qui est important pour vous. Que souhaiteriez-vous nourrir ou étayer ? De manière paradoxale, plus vous serez ouvert à l’humilité de la dépendance, plus vous serez simple et vrai pour arroser votre propre arbre fruitier.
Intégral :
http://www.cefro.pro/archive/2019/03/27/qu-est-ce-qui-fai...
♣♣♣
Je décrypte avec Décrypt'art :
http://decrypt-art.hautetfort.com/
14:33 Publié dans Blog Mémo, Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)
31/03/2019
Il creuse
Je n'avais pas tout lu à vrai dire de ce que j'ai d'abord pris pour une simple note à propos d'un ressenti sur les Gilets Jaunes, de Kronix. En fait, il s'agit d'une longue analyse mêlée de ressenti, et vu l'état de légère fatigue de mon cher cerveau, je dois m'y prendre en plusieurs fois pour en faire le tour et assimiler le propos intégralement, ayant un tout petit peu de mal à me concentrer longtemps ces temps-ci (lire de l'anglais m'aide à pulvériser mes capacités de concentration, aussi il faut que je m'y remette). Analyse donc d'un style empreint de ressenti, qui vaut la peine, qui vaut l'effort d'être lue, sur les gilets jaunes et le sociétal. Un extrait :
"Ceux qui ne sont rien et ceux qui n'ont rien fait.
Fascisme contre fascisme. Aujourd'hui, la précarité n'est pas qu'un sentiment. Le constat des misères dans le pays est accablant. Dans son célèbre discours, Victor Hugo stigmatisait les députés qui, ayant fait beaucoup mais n'ayant pas éradiqué la pauvreté, au fond, n'avaient « rien fait ». Du côté des partisans du gouvernement, on pourra toujours lister le nombre des bienfaits de sa politique, il n'en restera pas moins que, tandis que 74 Français chaque jour deviennent millionnaires en dollars (encore faut-il préciser qu'ils le deviennent surtout par valorisation « mécanique » de leur patrimoine immobilier, et sont donc soumis à ce titre à l'ISF, ou à sa nouvelle version), tandis que l'évasion fiscale et la fraude fiscale totalisent, quel que soit le mode de calcul, des milliards qui seraient bien utiles, le président et son assemblée aux ordres n'auront « rien fait » si la même proportion de pauvres subsiste et si ces pauvres, en plus, deviennent chaque jour plus pauvres. C'est intenable, c’est pervers, c'est fou."
http://kronix.hautetfort.com/archive/2019/03/23/les-gilet...
Je relâche mon système nerveux avec le pianiste à la mèche rebelle et au minois de Brad Pitt ; les oreilles surtout participeront à relâcher la tension, ou pas, pour vous, au cas où vous n'aimeriez pas cette musique :
08:45 Publié dans Lecture, Musique | Lien permanent | Commentaires (0)