Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

24/06/2021

Le polar à la télé

Le polar à la télé est devenu une sorte d'opportunité touristique. Hier soir sur la 2, c'était sur fond du corps déchiqueté d'une transsexuelle. Personne qui avait concrétisé la femme rêvée pour homme qui fantasme sur un prototype précis de femme : en tailleurs cintrés le jour et robe collée à un corps de sylphide le soir, robe si possible brillante. 

 

 

Pas vraiment la robe de la vierge Marie apparue dans la grotte à Lourdes, robe décrite selon les paroles de sainte Bernadette, comme étant blanche, agrémentée d'un large ruban bleu ciel au niveau de la taille.

 

Pas non plus le type de femme souffrant d'une ménopause compliquée d'une prise de poids et non plus une femme maigre.

 

 

La transsexuelle vue dans le polar correspond à un fantasme sexuel, et semble répondre à une commande extérieure. Du téléguidage ?

 

Dans le Pas-de-Calais, existe une maire transsexuelle, qui en fait ressemble à madame tout le monde.

 

Pour en revenir au polar, à la fin,  sur fond de solution à l'énigme de cette mort tragique est annoncée une naissance dans la famille du scientifique qui a contribué pour une large part à l'enquête, et la policière à qui cela est annoncé, du nom de madame Schneider,  s'écrie dans une joie soudaine après l'éprouvante enquête, "mazeltoff".

 

 

Ce n'est pas un mot de patois alsacien, mais un mot que j'ai entendu souvent prononcer lorsque j'habitais à Créteil, dans la bouche de religieux juifs.

 

Personne ne traduit, pas de légende en bas d'image.

 

Le polar se termine sur cette note exotique après tourisme à Brest, exotique également, ville où quand les gens sont heureux, cela leur donne l'air d'être tristes nous a-t-on appris.

 

Mais ce qui est de prime abord tout à fait étrange, peut devenir famillier, j'en ai fait l'expérience avec le qi gong :

 

Séance du jour, ici :

 

https://youtu.be/Z99uvymf5As

 

Mais je commence avec ceci, lombaires obligent :

 

https://youtu.be/3jcV-KO4dV8

 

Et pour ce soir je ferai ces torsions salutaires :

 

https://youtu.be/CMCGz1xptS8

 

Grand merci à ces professeurs, formidables professeurs !

 

09:57 Publié dans Note, vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)

21/06/2021

Hugues Aufray

 

Yes ! Vais-je terminer mon aventure Regards sur Hugues Aufray, qui m'a enchantée encore mieux qu'avec ses chansons sur cette vidéo ? Peut-être. En tout cas, bravo l'artiste ! Et, "barre de gauche" en ce moment précis : Mi Iras Limake. J'ai pu voir qu'il s'essaie à une fable écrite dans le style de La Fontaine pour dire son désaccord avec les vaccins. Je ne suis pas fan des vaccins, mais dans la situation que nous vivons je suis de ceux qui trouvent que c'est la seule solution (ça rime Jean !) Tu ne m'en veux point j'espère Limake, bien que je sois par toi traitée de collabo (déjà ça ne rime plus ! Trop dur les rimes !) J'espère que ce mot "collabo", cher tendre, a dépassé ta pensée. En ce moment j'apprends avec délice je l'avoue, de La Fontaine, Le lièvre et la perdrix, huitième fable que j'apprécie fortement, ma foi. Comme pour Limake, je ne suis pas d'accord avec tout ce qui est dit dans les fables. La première que j'ai apprise est "rien de trop". Je la sais sur le bout des doigts. Elle commence comme ceci : "Il est certain tempérament que le maître de la nature veut que l'on garde en tout. Le fait-on ? Nullement. Soit en bien, soit en mal cela n'arrive guère..." etc. Bonne journée chers adversaires, et aux autres aussi.    

10:01 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)

17/06/2021

L'homme de Picardie ♣♣♣ La T. S. F ♣♣♣ Le maillage des canaux et fleuves

La péniche, quelle aventure ! le bateau, disent plutôt les mariniers ! Une aventure presque familiale, n'était que les enfants, à un certain âge sont dirigés pour la plupart vers des internats à partir de 6-7 ans jusqu'à la fin des études secondaires je présume, avant de reprendre l'aventure pour beaucoup. Un dur travail mais sur l'eau le travail est ressenti autrement, ce n'est pas comme à la chaîne. Même si aujourd'hui les choses ont changé en raison du marché et de la concurrence qui ne donne pas du fret aussi facilement qu'avant puisqu'il faut des bateaux de plus en plus gros pour tenir tête à cette concurrence. 

Les mariniers :

 

 

♣♣♣

 

La T. S. F :

 

http://leradiofil.com/Applications.htm

 

♣♣♣

 

 

15:29 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)