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17/12/2020

Lisbourg près de Fruges

Ici :

 

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17:06 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

L'agriculture en question ♣♣♣ Song Arun et sa maman et aussi son épouse

 

♣♣♣

 

Merci pour ces images émouvantes Song Arun :

 

Centrale nucléaire du Tricastin ♣♣♣ Faire du forcing me concernant ?

 

♣♣♣

 

Je viens de lire un article dans l'écho du Pas-de-Calais intitulé "Rire contre la bêtise et l'obscurantisme". Le dessinateur est je pense sincère et mû par de bonnes intentions. Il est laïc dit-il, non religieux aussi, mais à entendre son message d'amour du prochain, on le croirait tout droit sorti d'un cours de catéchisme des plus rigoureux, où il est demandé aux enfants et aux prétendants à la chrétienté de s'aimer les uns les autres de façon inconditionnelle. Idéal difficile à atteindre. D'ailleurs, une fois sortis du cours, les petits chrétiens, comme les autres, se castagnent à l'occasion dans la cour de récré.

 

Nous le savons, les chrétiens, combien ce message est difficile à mettre en œuvre. D'aucuns se battent la coulpe, n'y parvenant pas, ne parvenant pas à éprouver l'empathie qui leur est demandée. Ils savent bien qu'ils ne peuvent pas supporter tel ou tel, le détestent etc. et cela leur semble rédhibitoire, insoluble, inconciliable avec l'idéal chrétien. Alors nous prions, nous traitant de "pauvres pécheurs", demandant la rédemption.

 

Le dessinateur qui exprime cet amour universel pour l'humanité entière dans l'Écho du Pas-de-Calais, amour qui lui est naturel  à mon avis, est plus chrétien que beaucoup de chrétiens, comme moi, qui butent encore contre certains écueils, n'arrivent pas à rire de tout par amour finalement, de l'humanité. Par exemple, pour mon cas pathologique, je le confesse à Babouse et à moi-même,  je ne parviens pas à faire de l'humour sur la mort de Samuel Paty. Impossible. Ce prof tout seul devant la meute cachée de ses ennemis... je ne parviens pas à aimer ces gens à qui il a eu affaire. Et les détestant, cela bloque en ma personne toute velléité de rire. Je suis donc moins chrétienne en réalité que le dessinateur pour qui le pardon et le rire sont tout naturels.

 

Je ne suis pas un exemple, certes non.  Je vais prier pour ma pomme, pour atteindre ce niveau d'amour inconditionnel du dessinateur de presse qui se nomme Babouse, sachez-le. Bravo Babouse, Tu m'en as bouché un coin ! Je le dis sans ironie, moi qui ne peux pas rire de tout, aimer tout le monde comme toi.  Mais je garde bon moral. J'ai le sentiment que ce Jésus, que j'aime de tout cœur, va parvenir à me sauver.

00:51 Publié dans Note, vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)