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06/12/2019

Hello Jodi !

 

Ce matin je lis dans ma boîte mails une pensée d'elle, de Jodi, qui m'a plu. Je lirais volontiers un bouquin de Jodi un de ces quatre. Tous ces livres à ouvrir ! toutes ces portes qui ouvrent sur d'autres portes ... tout un chemin que l'on suit de portes en portes, quand elles veulent bien s'ouvrir, qui vous offrent parfois des clés. Impossible de s'ennuyer. 

https://www.jodipicoult.com/

 

La pensée de Jodi lue ce matin :

 

Extraordinary things are always hiding in places people never think to look.

D'extraordinaires choses sont toujours cachées là où l'on ne pense pas regarder.

 

Ou alors :

 

Des choses extraordinaires sont toujours cachées en des endroits, en des lieux où les gens ne pensent pas à regarder.

11:55 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

Le quartier d'Aligre à Paris ♣♣♣ À la recherche d'une meilleure qualité de vie

 

Où il est question de "sauver les vertus de la rue pour les villes de demain."

 

♣♣♣

 

Article lu dans La vie des idées.

 

Un extrait :

 

"Augmentation de l’âge minimum d’entrée des enfants à l’usine,

 

 

 diminution du temps de travail à 10 heures par jour,

 

 

instauration d’une caisse d’assurance-maladie,

 

 

présence d’un médecin,

 

 

instruction des enfants : autant d’acquis sociaux relevant d’une volonté philanthropique qu’Owen tente par la suite d’étendre à l’échelle nationale, dans le contexte de la crise économique qui frappe la Grande-Bretagne au lendemain des Guerres napoléoniennes.

 

 

En 1816, il échoue à faire adopter au Parlement une loi régulant le travail des enfants en usine.

 

 

Perdant espoir de traiter la question sociale par la voie politique, il se tourne dès lors vers un projet plus radical : l’élaboration de petites communautés industrielles et agricoles appelées « villages de la coopération », dans lesquelles vivraient et travailleraient les plus pauvres, pour subvenir à leurs besoins de manière autonome.

 

 

Le projet est alors critiqué par les radicaux, pour n’être qu’une autre forme de workhouse. Thompson y est également d’abord hostile : il n’y voit qu’une variante améliorée du système d’assistance publique (les Poor Laws), qui ne s’attaque pas selon lui aux sources structurelles de la pauvreté.

 

 

L’adhésion de Thompson à l’owénisme résulte finalement de l’étude qu’il mène dans son premier livre, Enquête sur les principes de la distribution des richesses (Inquiry Into the Principles of the Distribution of Wealth), publié en 1824.

 

 

Thompson se fonde sur le principe utilitariste du plus grand bonheur du plus grand nombre, afin de dénoncer les inégalités économiques et sociales de son temps.

 

 

Le projet communautaire d’Owen apparaît dès lors comme une solution possible.

 

 

Bien plus qu’une workhouse améliorée, Thompson y voit désormais un véritable moyen d’action positif et proactif permettant de modifier en profondeur le système politique et économique.

 

 

Ces communautés représentent un investissement pour le présent comme pour l’avenir, à la fois comme remède à l’inégalité et à la misère existantes, mais aussi comme un modèle d’organisation économique et sociale alternative, qui s’étendrait idéalement à l’ensemble du territoire.

 

 

En effet, la pérennité et la diffusion de la coopération dépendent uniquement de sa capacité à convaincre tout un chacun qu’il s’agit bien de la meilleure organisation possible.

 

 

Comment remplacer des systèmes politiques et économiques incompatibles avec le progrès de l’humanité et son bonheur ?

 

 

Ce ne sera pas en usant de la force et de la violence révolutionnaire, pour Thompson, mais « en convainquant ceux qui les soutiennent et ceux qui sont affectés de manière injuste par celles-ci que leur bonheur augmentera en rejoignant ces nouveaux arrangements sociaux » [4]."

 

 

Le « système de compétition individuelle » remis en cause

00:09 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)

04/12/2019

Les monuments en question

 Ici l'autrice a été inspirée par les événements à propos  du monument éradiqué à Charllottesville en 2017, où un suprématiste blanc a utilisé une voiture bélier pour tuer une contre-manifestante.

 

Ce monument était érigé à la gloire d'une personne raciste...

 

 

Donc il ne s'agit pas vraiment d'un monument d'art mais d'un monument à la gloire du racisme.

 

Quand ce sont des monuments d'art, comme le Mont Saint Michel en Normandie/Bretagne, La tour Eiffel, les églises, qui racontent l'histoire du passé d'un peuple et parlent encore parfois de son présent, on n'est plus dans la politique mais dans le témoignage.

Au cas où nos ancêtres n'ont pas fait partie de ce passé, il faut  respecter le peuple dont les ancêtres ont élevé de beaux témoignages de foi.

 

Si je vais dans les pays arabes, cela ne me gêne pas d'admirer une mosquée et aussi un église car ces monuments ne sont pas élevés à la gloire d'un seul homme, mais à la gloire de Dieu.

 

En Chine, je trouverai plus de temples bouddhistes, qui eux aussi sont à la gloire de Dieu, à mon sens.

Ne me viendrait pas l'idée d'en démolir un.

Il y a des témoignages artistiques de mode de vie très élaborés en Amérique du Sud... ils racontent également l'histoire d'un peuple et aussi, d'une civilisation qui n'est plus. Idem pour les pyramides d'Égypte. Ne me viendrait pas à l'idée...

 

 

Sinon, une immense statue d'homme politique, quel qu'il soit... à un moment donné, bon, on l'a assez vu.

 

Par ailleurs, un calvaire, grand ou petit, surtout si on aime le Christ en tant que Dieu qui a traversé la mort, est même descendu jusqu'aux enfers et en est revenu toujours vivant... un calvaire disais-je... est un monument bizarre aussi à mon sens. Mais bon, je n'oserais pas abattre un calvaire cela dit... je suis un peu timorée en certains domaines.

 

L'autrice du poème sur les monuments, avec son poème, sur ce site : 

 

 

Adrienne Su

 

 

16:45 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)