L'engagement

 

 

Évangile

 

« Le Fils de l’homme est maître du sabbat » (Mt 12, 1-8)

 

Alléluia. Alléluia.
Mes brebis écoutent ma voix, dit le Seigneur ;
moi, je les connais, et elles me suivent.
Alléluia. (Jn 10, 27)

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

 

    En ce temps-là, un jour de sabbat,
Jésus vint à passer à travers les champs de blé ;
ses disciples eurent faim
et ils se mirent à arracher des épis et à les manger.
    Voyant cela, les pharisiens lui dirent :
« Voilà que tes disciples
font ce qu’il n’est pas permis de faire le jour du sabbat ! »
    Mais il leur dit :
« N’avez-vous pas lu ce que fit David,
quand il eut faim, lui et ceux qui l’accompagnaient ?
    Il entra dans la maison de Dieu,
et ils mangèrent les pains de l’offrande ;
or, ni lui ni les autres n’avaient le droit d’en manger,
mais seulement les prêtres.
    Ou bien encore, n’avez-vous pas lu dans la Loi
que le jour du sabbat, les prêtres, dans le Temple,
manquent au repos du sabbat sans commettre de faute ?
    Or, je vous le dis : il y a ici plus grand que le Temple.
    Si vous aviez compris ce que signifie :
Je veux la miséricorde, non le sacrifice,
    vous n’auriez pas condamné
ceux qui n’ont pas commis de faute.
En effet, le Fils de l’homme est maître du sabbat. »

            – Acclamons la Parole de Dieu.

Le dessin qui délasse

 

 

Air un peu catastrophé de l'une et un peu peiné de l'autre.

 

— Vous êtes sûre de la fiabilité de la balance ? dit la dame catastrophée.

 

— Peut-on jamais se fier à quelque objet que ce soit ? lui répond Zébra, en philosophe extravertie.

 

Autre interprétation d'un dessin à peu près le même :

 

 

À propos de la culpabilité dont parle Zébra dans le dessin, culpabilité qui est un lourd fardeau que le bourreau à l'intention de faire porter à l'autre ; et cette intention en soi parasite quelque peu si l'on n'y prend garde.

Jésus dans l'évangile lu ce jour, dit que son fardeau est léger. Il ne fait pas porter de lourd fardeau de la culpabilité, il invite à aimer dans le respect les uns des autres.

 

Ici :

 

Évangile

« Je suis doux et humble de cœur » (Mt 11, 28-30)

Alléluia. Alléluia.
Venez à moi, vous tous qui peinez
sous le poids du fardeau, dit le Seigneur,
et moi, je vous procurerai le repos.
Alléluia. (Mt 11, 28)

 

Évangile de Jésus Christ selon saint Matthieu

 

En ce temps-là, Jésus prit la parole et dit :
    « Venez à moi,
vous tous qui peinez sous le poids du fardeau,
et moi, je vous procurerai le repos.
    Prenez sur vous mon joug,
devenez mes disciples,
car je suis doux et humble de cœur,
et vous trouverez le repos pour votre âme.
    Oui, mon joug est facile à porter,
et mon fardeau, léger. »

            – Acclamons la Parole de Dieu.

 

 

 

Vu hier soir à la télé ♣♣♣ Océan en détresse à cause du plastique

 Hier j'ai regardé la chaine WEO où l'on voyait les pérégrinations de trois chercheurs d'emploi. J'ai pris l'émission en cours. J'ai d'abord vu le ferrailleur qui, grâce à son talent de conducteur de poids lourds colossaux a pu opérer une bonne reconversion. Ensuite j'ai vu "la cigale" version masculine. Un homme au superbe minois, qui je suppose plaît beaucoup aux dames et autres attirés par le sexe masculin. Hormis sa beauté physique, il n'avait pas d'armes pour se défendre, je veux dire par là qu'il n'avait pas encore trouvé à développer son talent caché... si cela se trouve c'est un excellent dessinateur ou peintre ou virtuose d'autre chose, mais qui ne le sait pas lui même. Et enfin j'ai vu une jeune femme que j'ai trouvée belle en dépit de son surpoids et de sa tête un peu tondue. Belle et touchante. Les deux derniers cités ont eu des entretiens carabinés avec des experts de la recherche d'emploi. Leur était demandé, notamment "à la cigale beau minois aux talents cachés" de s'apprendre à être requin, de savoir griffer le plancher. Leur était signalé des fois qu'ils n'auraient toujours pas compris, qu'ils sont dans une jungle où le tueur gagne, point barre. Car non, dans ces entretiens, on n'a pas le sens de la nuance. C'est violent sous un ton doucereux. Imaginez que dans leur enfance on leur ait enseigné le catéchisme, l'amour du prochain, la charité... et voilà que d'autres leur disent tout le contraire. De quoi être déboussolé. De plus, bien qu'il faille se comporter somme toute comme une bête sauvage quelque part, pour survivre selon leurs préceptes réalistes, il faut savoir écrire de belles lettres de demande d'emploi pour pouvoir ensuite faire de la manutention ; et savoir aussi se vendre (expression récurrente), un peu comme s'il fallait apprendre à se prostituer. On rit ou on pleure ? J'opte pour la prière. Christ, vous qui avez eu pitié des bourreaux,  parlons-en. Savent-ils au moins qu'ils en sont sous leurs airs aseptisés et surtout anesthésiés ? Je ne le pense pas. Ils récitent leur catéchisme à eux, diablement antéchrist, comme s'ils s'anesthésiaient eux-mêmes, voulant croire à leurs mensonges pour tenir le coup. Et à la fin de cette émission, cerise sur le gâteau, un journaliste félicite l'anesthésiée anesthésiante pour le travail qu'elle fournit pour sortir de la mouise les durs à cuire qui ont le cuir dur pour supporter les fadaises qu'on leur sert. Amen.

 

♣♣♣

 

Un article du journal Le  Monde au sujet du plastique : macroplastique ou alors  résidus de plastique sous forme de particules nommées microplastique,  cela menace d'étouffer moult poissons avant de former un continent de plastique. Ici :

 

https://www.lemonde.fr/pollution/article/2018/04/25/taux-...