11/07/2018
La respiration sonore ♣♣♣ Maryse à l'écoute, partage
Comme un bruissement du vent ou de la mer, le bruit de cette respiration enseignée dans la vidéo dont je mets le lien ci-dessous, qui vise à rendre son autonomie à une personne venant de subir un stress, en d'autres termes : revenir à soi par la respiration. J'ai aimé le bruissement, pas besoin de coller son oreille sur un coquillage puisqu'on se crée le son soi-même. J'adopte quant à moi. C'est ici :
L'importance de la position de la langue pour une respiration de guérison :
Explications avec cet autre enseignant sur le même sujet :
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Corps prisonnier ?
10:32 | Lien permanent | Commentaires (0)
10/07/2018
Lu ce matin ♣♣♣ Chanson des frangines
Ce matin je suis allée lire les derniers posts du blog Regards sur une vis sans fin. J'ai apprécié ce que l'auteur du blog dit à propos de la peinture (peinture, vue comme la prière du manuel (Emmanuel signifie "Dieu est avec nous")) et j'ai aussi apprécié le poème sur le long chemin pour être au mieux de l'humanité. Quant au pliage qui donne sur l'étendue du Rien... rien à en dire, sinon que le représenter, ce n'est pas rien. Le lien :
http://regardssurunevissansfin.hautetfort.com/
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Chanson des frangines :
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09/07/2018
Lu ce matin sur Jubilate : La sagesse
"Lire l’Ancien Testament – XVII. La sagesse – I
mis à jour – 2015
Par-dessus tout, veille sur ton cœur, c’est de lui que jaillit la vie. Pr 4, 23
La haine suscite des querelles, l’amour couvre toutes les offenses. Pr 10, 12
Toutes les choses que Dieu a faites sont bonnes en leur temps. Dieu a mis toute la durée du temps dans l’esprit de l’homme, mais celui-ci est incapable d’embrasser l’œuvre que Dieu a faite du début jusqu’à la fin. Qo 3, 11
Ne te presse pas d’ouvrir la bouche, que ton cœur ne se hâte pas de parler à Dieu, car Dieu est au ciel, et toi, sur la terre. Donc, que tes paroles soient rares. Qo 5, 1
La Sagesse est resplendissante, elle ne se flétrit pas. Elle se laisse aisément contempler par ceux qui l’aiment, elle se laisse trouver par ceux qui la cherchent. Elle devance leurs désirs en se faisant connaître la première. Celui qui la cherche dès l’aurore ne se fatiguera pas: il la trouvera assise à sa porte. Penser à elle est la perfection du discernement, et celui qui veille à cause d’elle sera bientôt délivré du souci. Elle va et vient à la recherche de ceux qui sont dignes d’elle; au détour des sentiers, elle leur apparaît avec un visage souriant; dans chacune de leurs pensées, elle vient à leur rencontre. Sg 6, 12-16
Il y a dans la Sagesse un esprit intelligent et saint, unique et multiple, subtil et rapide; perçant, net, clair et intact; ami du bien, vif, irrésistible, bienfaisant, ami des hommes; ferme, sûr et paisible, tout-puissant et observant tout, pénétrant tous les esprits, même les plus intelligents, les plus purs, les plus subtils. La Sagesse, en effet, se meut d’un mouvement qui surpasse tous les autres; elle traverse et pénètre toute chose à cause de sa pureté. Car elle est la respiration de la puissance de Dieu, l’émanation toute pure de la gloire du Souverain de l’univers; aussi rien de souillé ne peut l’atteindre. Elle est le rayonnement de la lumière éternelle, le miroir sans tache de l’activité de Dieu, l’image de sa bonté. Comme elle est unique, elle peut tout; et sans sortir d’elle-même, elle renouvelle l’univers. D’âge en âge, elle se transmet à des âmes saintes, pour en faire des prophètes et des amis de Dieu. Sg 7, 22-27
Réjouis-toi, jeune homme, dans ton adolescence, et sois heureux aux jours de ta jeunesse. Suis les sentiers de ton cœur et les désirs de tes yeux! Mais sache que pour tout cela Dieu t’appellera en jugement. Eloigne de ton coeur le chagrin, écarte de ta chair la souffrance car l’adolescence et le printemps de la vie ne sont que vanité. Souviens-toi de ton Créateur, aux jours de ta jeunesse, avant que viennent les jours mauvais, et qu’approchent les années dont tu diras: « Je ne les aime pas »; avant que s’obscurcissent le soleil et la lumière, la lune et les étoiles, et que reviennent les nuages après la pluie; au jour où tremblent les gardiens de la maison, où se courbent les hommes vigoureux; où les femmes, l’une après l’autre, cessent de moudre, où le jour baisse aux fenêtres; quand la porte se ferme sur la rue, quand s’éteint la voix de la meule, quand s’arrête le chant de l’oiseau, et quand se taisent les chansons; lorsqu’on redoute la montée et qu’on a des frayeurs en chemin; l’amandier est en fleurs, la sauterelle s’alourdit, et la câpre ne produit aucun effet; lorsque l’homme s’en va vers sa maison d’éternité, et que les pleureurs sont déjà au coin de la rue; avant que le fil d’argent se détache, que la lampe d’or se brise, que la cruche se casse à la fontaine, que la poulie se fende sur le puits; et que la poussière retourne à la terre comme elle en vint, et le souffle de vie, à Dieu qui l’a donné. Qo 11, 9-10 et 12, 1-7
image: Abbaye Notre-Dame de Tamié / Savoie, France"
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