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16/06/2009

Lettres d’Iwo Jima

Lettres d’Iwo Jima. Ce deuxième volet du diptyque de Clint Eastwood consacré à la guerre du Pacifique en 1945, que je regardais tout à l’heure sur la télé belge, ne peut laisser personne indifférent. On se retrouve encore une fois face à l’absurdité de la guerre. Savoir qui a commencé les « hostilités » ne saurait ici justifier quoi que ce soit. Le réalisateur ne juge pas, il montre, à travers l’analyse du vécu de certains personnages et certaines situations, dans quel engrenage infernal sont pris les soldats japonais, ( la bataille étant dans cette deuxième partie reconstituée de leur point de vue ), qui ne peuvent être que dépassés. Si d’aucuns se prennent à douter et tentent parfois de se rendre, d’autres, victimes de leur mentalité ou influencés par une propagande anti-américaine, courent tête baissée au-devant d’une mort quasi certaine. Un grand film humaniste.

 

Si vous voulez vous remettre l’histoire en tête, cliquez ici :

http://www.agence-cinema-education.fr/zdc-lettresdiwojima...

01:07 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

15/06/2009

« La Trace du papillon»

« La Trace du papillon», dernier recueil paru de son vivant, une anthologie et un disque, autant de portes lumineuses pour entrer dans l’univers du poète palestinien

De poète national palestinien à poète tout court. Par la force de son engagement pour la parole transparente et juste Mahmoud Dar­wich a convaincu son public de le suivre jusqu’au bout de ses recherches, de sa quête de libération des pressions politiques aussi. Il se disait en fait poète troyen, c’est-à-dire parolier des gestes des vaincus d’où qu’ils viennent. Et sa terre, sous sa plume, s’est muée en métaphore universelle. «Toute belle poésie… est résistance.»

http://www.letemps.ch:80/Page/Uuid/a2003d02-5791-11de-861...

Bacon

"À la manière d'un déchirant chant tzigane ou encore d'un vibrant gospel, Bacon traduit la disparition de la culture des Premières Nations dans cette série de Bâtons à messages, inspirés des signaux de passage que les anciens disséminaient sur les territoires de chasse. Ainsi, à travers les mots, la poétesse transmet la présence fantomatique d'une nation en deuil, hésitant entre mélancolie et désir d'adaptation. Les contradictions y fleurissent comme le fruit de chicouté, "Indien donc indigne/ je crois en Dieu/ Dieu appartient aux Blancs" alors que l'auteure, les yeux vers le Nutshimit perdu, "offre des émotions/ à une table desservie". Une oeuvre bilingue (en français et en innu) que l'on attendait avec impatience."

 

http://www.cyberpresse.ca:80/arts/livres/romans-quebecois...

08:21 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)