Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

17/07/2018

Lu cet après-midi sur le site Hozana

 

Du Mont Carmel à Lourdes et à Fatima

 

La fête de Notre Dame du Mont Carmel a été instaurée par les Carmes vers 1380, en mémoire de la fin des oppositions à leur ordre, et de la vision à saint Simon Stock le 16 juillet 1251, vision au cours de laquelle la Vierge Marie remit le scapulaire à Simon Stock.

En 1587, le pape Sixte Quint étendit cette fête à l'ensemble du Carmel, branches féminine et masculine. En 1726, Benoît XIII l'étend au calendrier romain.

Quant aux apparitions de la Vierge à Lourdes, elles se sont conclues le 16 juillet 1858, fête de Notre Dame du Mont Carmel. Ce jour-là, nous rapporte Bernadette, l'apparition resta dans le silence et se montra plus belle que jamais. Celle qui est la Reine et la beauté du Carmel, la Vierge du silence et de la contemplation, couronnait la série des dix-huit apparitions dans le souvenir de sa présence auprès de l'Ordre du Carmel.

Pareillement, Marie choisit, lors de sa dernière apparition aux pastoureaux de Fatima, le jour du 13 octobre 1917, de se manifester sous l'aspect de Notre Dame du Mont Carmel, c'est-à-dire de la Vierge au scapulaire.

 

14:08 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

La phrase ♣♣♣ Sœur Charlotte

 

"The unexpected favor with which the little book was greeted, and the desire for a new edition, increase the author's regret that it be not more worthy of such a kind reception,

 

L'accueil favorable inattendu du petit livre, et le désir d'une nouvelle édition, intensifient le regret de l'auteur que ce livre ne soit pas plus digne d'une réception si aimable,"

 

Lu sur un blog de littérature américaine.

 

Commentaire de la phrase en question : Aimable réception et désir d'en être digne. Le regret de ne pas se sentir suffisamment digne. Face à l'accueil favorable, une fois présenté le travail, envie d'être à la hauteur de l'estime qui est accordée. Pas de pression étant donné que la récompense par l'accueil  favorable du travail fourni est déjà là. C'est la récompense morale qui stimule ou fait naître une forme de moralité plus exigeante de la part du récompensé par rapport à sa propre estime à l'encontre de ceux qui le récompensent.

 

Un sentiment d'estime mutuelle est exprimé dans la phrase que je commente.

 

                                              ♣♣♣

 

Lu sur Hozana :

 

"Bienheureuse Charlotte (1715 – 1794)

 

Anne Marie Madeleine Françoise Thouret, en religion Sœur Charlotte de la Résurrection est née en 1715 à Mouy dans le diocèse de Beauvais. Lorsqu'éclate la Révolution française, en 1789, la communauté du Carmel de Compiègne compte 21 religieuses. 18 monteront sur l'échafaud. Conformément au décret du 13 février 1790 qui supprime les Ordres religieux contemplatifs, chaque carmélite est invitée à déclarer si son intention est de sortir de son monastère. Toutes affirment "vouloir vivre et mourir dans cette sainte maison." En 1792, la Mère prieure leur propose "un acte de consécration par lequel la communauté s'offrirait en holocauste pour que la paix divine, que le Fils de Dieu était venu apporter au monde, fut rendue à l'Église et à l'État." Le 14 septembre 1792, elles sont expulsées de leur couvent. Chaque jour, elles prononcent l'acte d'offrande. Le 23 juin 1794, au temps de la Grande Terreur, elles sont arrêtées. Jugées et condamnées à mort le 17 juillet, elles sont guillotinées le soir même, sur la place de Nation à Paris. Leurs corps furent enterrés au cimetière de Picpus dans une fosse commune, où ils se trouvent encore dans le jardin des religieuses.

 

Prière

 

Prions pour les pays où le christianisme est menacé et où les fidèles sont persécutés. Que leurs dirigeants découvrent la beauté du message du Christ."

 

 

 

 

10:29 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

16/07/2018

Paroles du prophète Isaïe ♣♣♣ Les soignants parmi lesquels Camille, un de leurs patrons

...

" Cessez d’apporter de vaines offrandes ;
j’ai horreur de votre encens.
Les nouvelles lunes, les sabbats, les assemblées,
je n’en peux plus de ces crimes et de ces fêtes.
    Vos nouvelles lunes et vos solennités,
moi, je les déteste :
elles me sont un fardeau,
je suis fatigué de le porter.
    Quand vous étendez les mains,
je détourne les yeux.
Vous avez beau multiplier les prières,
je n’écoute pas :
vos mains sont pleines de sang.
    Lavez-vous, purifiez-vous,
ôtez de ma vue vos actions mauvaises,
cessez de faire le mal.
    Apprenez à faire le bien :
recherchez le droit,
mettez au pas l’oppresseur,
rendez justice à l’orphelin,
défendez la cause de la veuve."

            – Parole du Seigneur.

 

Amen. Lu ce matin dans le premier texte de la messe AELF.

 

                                      ♣♣♣

 

"Saint Camille de Lellis (1550 – 1614)

 

Cet adolescent italien, orphelin et sans fortune, eut une jeunesse dissipée. Il s'engagea dans l'armée espagnole pour combattre les Turcs. Un jour de malchance, il perd au jeu tout ce qu'il possède. On le renvoie de l'armée. Il fait alors tous les métiers pour aboutir comme homme de service dans un couvent de capucins. Et c'est là qu'il se convertit. Comme il ne fait rien à moitié, il y demande son admission. Mais un ulcère incurable à la jambe lui interdit l'état religieux. Camille entre à l'hôpital Saint-Jacques de Rome pour se faire soigner. Il est si frappé par la détresse des autres malades qu'il s'y engage comme infirmier. L'indifférence de ses collègues vis-à-vis des malades le bouleverse. Il entreprend de réformer tout cela. En prenant soin des malades, ce sont les plaies du Christ qu'il soigne. Sa charité rayonnante lui attire de jeunes disciples. Ces volontaires, qui se réunissent pour prier ensemble et rivalisent de tendresse envers les malades, constituent le noyau initial des Clercs Réguliers des Infirmes que l'on appellera familièrement par la suite les "Camilliens". La mission de ces nouveaux religieux, pères et frères, est "l'exercice des œuvres spirituelles et corporelles de miséricorde envers les malades, même atteints de la peste, tant dans les hôpitaux et prisons que dans les maisons privées, partout où il faudra." Pour mieux établir son Institut, Camille devint prêtre. Partout où se déclare une peste, il accourt ou envoie ses frères. Il finit par mourir d'épuisement à Rome.

 

Prière

 

Prions pour les soignants, qu'ils puissent apporter joie et soutien à leurs patients."

 

Lu sur le site Hozana.

 

 

11:14 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)