05/01/2020
La médiathèque d'Arras ♣♣♣ Le poème ce jour
La médiathèque d'Arras se trouve dans un palais.
C'est le Palais Saint Vaast. Je suis montée par l'escalier, aux larges marches noires, pas hautes à escalader.
J'ai été positivement sensible au luxe car c'était un luxe offert à tous... Il y a des sièges très confortables, qui vous redressent le dos en douceur, et de grandes larges fenêtres dans une ambiance feutrée et chaleureuse, propice à la réflexion. Les plafonds sont hauts. Merci les livres. Merci Arras.
♣♣♣
Winter Sleep
Edith Matilda Thomas
03:05 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)
04/01/2020
Chacun essaie d'y voir plus clair ♣♣♣ Le poème du jour
Chacun essaie d'y voir plus clair d'où il se trouve.
Je me trouve quant à moi dans la foi chrétienne, et je vois le monde à partir de cette foi. Je le ressens à partir de ma façon de vivre cette foi.
Ma façon de ressentir; d'"avoir un sentiment sur", vient de cette foi chrétienne et non du fait d'être ou pas française ou d'avoir telle ou telle situation sociale.
Ma façon de ressentir même parfois les choses apparemment sans importance, vient de là, comme les quelques images, concernant les émissions de divertissement, vues à la télé hier soir.
Idem en regardant le journal présenté par la journaliste Mactossh. Elle avait l'air si heureux, annonçant la galette des rois, après les drames.
Pas évident de voir le rapport entre l'air heureux et les nouvelles annoncées.
Le message à y voir est-il "on s'en fout" ?
Je ne le crois pas. C'est juste que la ligne de conduite à montrer est "gardons la face", "n'ayons pas peur".
Même s'il y a de quoi, la peur ne servant à pas grand-chose quand la réponse doit être de garder son sang froid, d'avoir les bons gestes.
Autres choses vues à la télé :
les polars humoristiques. Ce n'est plus l'humour de Coluche, dont l'ambition je crois était de révéler nos propres failles pour nous aider à rectifier, ici, l'humour ne veut rien révéler, il tend à contrebalancer la gravité des crimes commis, que d'une certaine façon, il dédramatise, mais il dédramatise quelque chose qui reste un drame : tuer autrui.
À ce propos : le jeune homme qui a tué à l'arme blanche des joggers hier vers 14 heures.
J'ai entendu le maire de l'Haye les Roses, qui en appellait entre autre mais assez souvent, à la psychiatrie pour les personnes violentes. Or le jeune homme qui a tué à l'arme blanche en sort, de la psychiatrie, et se définit sous l'étiquette "skizo". La psychiatrie pour lui a échoué.
Emprisonner indéfiniment les personnes en camisole chimique est impossible mais lorsque les médicaments ne sont plus donnés, cela pourrait aboutir à des comportements violents, voire comme celui qu'a eu le jeune homme.
Ne jamais arrêter la camisole chimique conduit à tuer quelqu'un, à mon sens, de manière soft, sans faire couler le sang, mais on tue tout de même la personne "à la longue".
Il faudrait revenir aux sources des drames, qui est la déshumanisation et les égoïsmes répétés, le chacun pour soi à longueur de temps, et aussi l'entre soi où l'on se confine jusqu'à fantasmer l'autre de façon négative, l'autre étant l'exclu de notre monde à soi. Cela donne au final une société d'exclus.
En ce moment par exemple : "je veux mes points de retraite à la façon dont je l'entends, et vogue la galère pour tous les autres." On tire la couverture à soi, en somme.
Il faut revenir à la fraternité. À l'échelle de la France, que les personnes d'origine gauloise, celte, berbère, arabe, etc., que toutes les personnes aux caractères divers et variés, couleur de peau claire ou foncée, transcendent les problèmes du passé, les clivages, pour une humanisation réelle. Je prie pour cela.
♣♣♣
Disclosure
Camisha L. Jones
08:33 Publié dans Note, Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)
03/01/2020
La Terre ne supporte plus
14:29 Publié dans vidéo | Lien permanent | Commentaires (0)