11/06/2014
Photo du jour... et musique
Lay down in the tall grass
In a flat-bottomed boat
We lay down and wait for you
With nothing but a piece of rope
Dreaming every night of you
Shaking at the sight
I'll be dreaming every night of you
I'll be shaking at the sight - of - you
Will you beg for forgiveness
Will you pray to be saved
The way you choke your children
When they spit in your face
Dreaming every night of you
Shaking at the sight
I'll be dreaming every night of you
I'll be shaking at the sight
I dreamt you found me out in a field
You tripped over my site
And you dug me out of a shallow grave
With your Swiss Army knife
And only you could revive me
So badly decomposed
I was bone-white, dry and scaly
But you still took me home
Dreaming every night of you
Shaking at the sight of you
I'll be dreaming every night of you
And how could you be so serene
Motivation unclear
In a late basement seance
That brought us to tears
Dreaming every night of you
Shaking at the sight
Oh, I'll be dreaming every night of you
I'll be shaking at the sight
I dreamt you found me out in a field
You tripped over my site
And you dug me out of a shallow grave
With your Swiss Army knife
And only you could revive me
So badly decomposed
I was bone-white, dry, and scaly
But you still took me home
Dreaming every night of you
Shaking at the sight of you
I'll be dreaming every night of you
16:17 Publié dans Musique, Photo | Lien permanent | Commentaires (0)
10/06/2014
Nous réparons une injustice
Trois, et même quatre photos de Yoko, hier, mises en ligne au post précédent. Mais il n'y en a pas que pour lui, Yoko se veut favori, les autres s'en fichent tellement que parfois ils s'effacent devant lui.
Aujourd'hui, j'ai réussi à photographier notre prix de beauté (non officiel) et notre Nono que je trouve tout aussi belle pour ma part. Mais ces deux-là n'aiment pas poser, contrairement à Yoko le narcisso, qui rend les photos plus animées de par sont art consommé de la pose. Voici donc les deux autres (pas de Lulu, qui a profité de l'hiver doux pour déménager presque définitivement. Il nous rend de temps à autre une aimable visite, puis s'en va pour des périodes de plus en plus longues, l'ingrat.)
Je sais, il n'y a pas de chat sur cette photo, juste une poule, un caillou qui a fait le voyage depuis Toulouse et une évocation de la méditation réussie. Les chats arrivent bientôt dans toute leur majesté, eux aussi.
No comment.
J'ai aimé ce texte, lu sur le site de Jubilateo ce matin :
"En attendant le jour du retour du Seigneur, jusqu'à ce que le monde ait fini de mûrir dans sa gangue de pierre et qu'enfin apparaisse la splendeur de la gloire, le ruissellement de la lumière à travers la transparence de l'or: il faut durer dans le silence et l'espérance. Maintenir, coûte que coûte, le contact dans l'amour aux yeux clos. De cette obscurité fuse toute lumière. De cette source ignorée, sur le monde coule la paix. De ce temps perdu, toute action recueille efficacité. Dans ce repos, tout labeur prend son sens. Dans ce silence, mûrit la parole qui portera fruit. Dans ce creux profond, sourdent les fontaines qui abreuvent l'univers. De cette source cachée, ruissellent des pays de fontaines. De cette nuit, émanera toute clarté. De ce creux d'ombre, se répand un fleuve de paix. A partir de ce silence, notre parole devient féconde!"
écrit par une religieuse, sœur Jeanne d'Arc.
10:24 Publié dans Lecture, Photo | Lien permanent | Commentaires (0)
09/06/2014
Photos et commentaires
Hier matin c'était le grand ménage du "samedi" (décalé d'un jour), mais chaque matin en cas de grand soleil, je sors tous les tapis, le temps que le soleil s'occupe des bactéries. Les paniers connaissent aussi le même sort, mais là, Yoko en rajoute (au niveau des bactéries).
L'après-midi, grand soleil. Bientôt quelqu'un va arriver.
Toujours lui. Il est en train de s'installer.
Il prend ses aises, c'est parti pour une toilette. Tigret dehors admire son frère, Tigret en effet, bien qu'il soit le plus beau, est toujours admiratif de sa sœur Nono et de ses frères. Et bienveillant, très doux.
Et un regard pour la photo. Plein yeux. Il s'y croit l'animal. Animal, on est bien.
Les roses de l'ombre. Prises en photo cet après-midi. Le feuillage constitue une ombrelle sévère. Anti-bronzage.
Coin de patio pendant l'averse, il tonne aussi. Et d'ailleurs d'un coup, il y a eu un grand crash, la foudre n'est pas tombée loin d'ici tout à l'heure.
Framboisiers en fruits. Visités par les oiseaux, en sécurité, perchés sur les branches de framboisiers.
La camomille s'éclate bien dans ce patio. Le lilas n'a plus de fleurs mais se porte comme un charme et grandit.
Elles ont quelque chose de majestueux, ces roses de l'ombre. Prises tout à l'heure pendant l'averse et quand l'orage grondait.
17:49 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0)