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16/01/2019

Lu à l'instant

 

Le livre est un morceau de silence dans les mains du lecteur. Celui qui écrit se tait. Celui qui rit ne rompt pas le silence.

(in Traité 5)

 

Dans Vox Poetik

 

♣♣♣

 

Ambiance "drôle de guerre" :

 

"Les 10 et 11 novembre, de nombreux mouvements sur voies routières et ferrées portent le Corps d’Armée vers la région nord d’Abbeville puis sud de Calais pour une concentration des forces en vue d’une éventuelle entrée en Belgique. À partir de cette date, le 1er CA, toujours constitué de deux Divisions d'infanterie (25e DIM et 21e DI), stationne dans la région située à l'est de Boulogne-sur-Mer et au sud de Dunkerque en position de réserve de la 7e Armée. Deux nouvelles alertes, à la mi-janvier et à la mi-avril 1940, entraînent la mise en place des avant-gardes et des éléments d’équipement des itinéraires à la frontière Belge. Au cours de cette période dite de concentration, puis de stabilisation, le détachement de circulation routière du 1er CA travaille en complément des régulatrices routières aux ordres du GQG, qui agissent en fonction d’une implantation territoriale liée au quadrillage routier. Aussi les missions confiées au DCR s’inscrivent-elles en complément de l’action de la RR adaptée à la 7e Armée : reconnaissance, fléchage, jalonnement en accompagnement direct des Régiments des divisions d’infanterie."

 

Site PHOTON, à propos de la mobilisation

 

Ici : http://lephoton.hautetfort.com/apps/search/?s=mobilisation

 

14/01/2019

François ♣♣♣ L'ombre chinoise

 

Un nouveau François dans ma liste jaune fluo : François Carmignola. Joli patronyme car proche de carmagnole.

 

Extrait :

 

"...Heidegger n'est pas occidental. Son indo européanisme est en fait un peu trop ancien, pour tout dire manifestement antérieur à son arrivée en Europe depuis des confins asiates dont l'effroyable barbarie sylvestre nous dégoute depuis sainte Geneviève.

Qu'il y retourne lui et son être gothique, je ne pardonnerai jamais la trahison des germains à Alésia. 

Mais là n'est pas la question, le monde a basculé et les courants réactionnaires phosphorent et prennent le lead culturel dans l'ombre, ce qui va changer le monde. De jeunes chevelus boivent des coups en déplorant dans les arrières salles la vilainie de l'univers, qui se trouve ainsi réformable au moins dans l'avenir. Enfin, chevelus: en matière capillaire Rappin suit le courant de Foucault (elle est pas bonne celle là?).

En tout état de cause, on a une espèce de trotskysme: tous opposés évidemment à l'engeance majoritaire on est toute une communauté à la conspuer jour et nuit sans que cela ait un quelconque effet sur la réalité."

 

Hé bé !  Vous m'en direz tant ! Sainte Geneviève, priez pour les asiates et sinophiles non antisémites et bien intentionnés (les autres je les abandonne aux mains de François Carmignola.)

 

                                                  ♣♣♣

 

Les 18 mouvements avec l'ombre et la lumière, et des sons, pour les entendants, qui nous parlent de mille choses suaves :

https://youtu.be/aAwbJ9MO91I

 

http://francoiscarmignola.hautetfort.com/

Retour de l'ordinateur ♣♣♣ Méditation

 

Assouplissement de la colonne vertébrale :

 

https://youtu.be/bXz9ZSVlSKo

 

                                                         ♣♣♣

 

Méditation avec les carmes :

 

"La première chose que Jésus a proclamée au début de son ministère est une parole d'espérance : " Les temps sont accomplis, le Règne de Dieu est tout proche", les temps sont accomplis, ceux dont Dieu gardait le secret. Et parce que Dieu a jugé que le monde avait suffisamment mûri, son Règne est là, parmi les hommes, en son Fils, Jésus de Nazareth.

En réponse à cette avance inouïe que Dieu nous fait en son Fils, que nous demande-t-il ? Deux choses indissociables : la conversion et la foi : "convertissez-vous""croyez à la bonne nouvelle", croyez à l'espérance.

La conversion et la foi : impossible de vivre l'une sans l'autre. Si nous nous convertissons, si nous tournons le dos à nos idoles, c'est pour donner notre foi à Jésus-Christ ; et inversement, venir à Jésus-Christ, c'est accueillir un amour qui nous transforme, et c'est cela, la conversion.

Puisque le temps se fait court, puisque déjà, dans le Christ, nous touchons au port, notre rapport aux choses se présente autrement : "Que ceux qui achètent soient comme s'ils ne possédaient pas ; que ceux qui tirent profit de ce monde, comme s'ils n'en profitaient pas vraiment".

Là encore, il n'est pas question de déprécier le travail d'un homme ni de dévaloriser sa compétence, mais simplement – et c'est tout un programme – de ne pas s'aliéner dans les choses, les choses possédées comme les choses à faire.

Le but est que le travail et l'usage de ce monde redeviennent un service de Dieu et de l'homme, et une attente active de la venue du Maître.

Puisque le temps se fait court et que chaque jour la vie éternelle est à portée de notre foi, notre propre cœur peut jeter l'ancre dans le monde de Dieu où Jésus est entré : "Que ceux qui pleurent soient comme s'ils ne pleuraient pas, ceux qui se réjouissent comme s'ils ne se réjouissaient pas".

Certes, il faut rire et chanter, demeurer jeune avec les jeunes ; certes, il faut compatir et ne pas se cuirasser contre le chagrin. Le but réel n'est pas de se déshumaniser par une sorte d'indifférence à la douleur et à la joie, mais de replacer toute joie et toute souffrance sur l'axe de l'espérance chrétienne, car "elle passe, elle est en train de passer, la figure de ce monde".

On peut suivre Jésus de bien des manières. On peut le suivre seul, on peut le suivre avec femme et enfants, avec mari et famille. On peut le suivre dès sa jeunesse, ou dans la longue patience de la vie monastique. C'est toujours le service du même Seigneur, l'épanouissement de la même foi, de l'unique baptême.

Jésus passe à toute heure de la vie au bord du lac de notre histoire personnelle, familiale, communautaire. Dans un instant, présent en nous par son Eucharistie, il nous fera réentendre l'appel du premier jour, et en silence, dans notre cœur, nous nous lèverons pour le suivre."

 

                                                  ♣♣♣

Dehors des oiseaux chantent comme si déjà le printemps arrivait. Ils ont repéré l'allongement des jours et s'en réjouissent. Les oiseaux célèbrent la lumière comme une première nourriture.

 

Je retiens ce que disent les Carmes avec Jésus : ne pas s'aliéner dans les choses.

Pas d'indifférence pour autant, mais rester libre.

Je pense que jésus apprécie cet apprivoisement du corps :

J'écoute et je fais les mouvements. Comme danser en écoutant la musique et faire du bien au corps et à l'esprit. La plus belle gymnastique que je connaisse :

https://youtu.be/xBoCrEswHvQ

08:37 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)