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16/05/2008

Le Temps

"Suite à la crise alimentaire et aux récentes émeutes suscitées par la hausse du prix des céréales dans de nombreux pays asiatiques et africains, le détournement de celles-ci pour fabriquer des biocarburants fait l'objet de beaucoup d'attention médiatique. Nous sommes moins attentifs à une forme de «gaspillage» de céréales bien plus importante: la consommation de viande, d'œufs, de produits laitiers et d'autres produits d'origine animale. Alors que 100 millions de tonnes de céréales vont être utilisées pour fabriquer du biocarburant cette année, plus de 760 millions de tonnes serviront à nourrir des animaux d'élevage, soit plus de sept fois plus, selon la FAO." ICI 

 Idée de recette végétarienne :  la soupe au pistou, c’est ICI

15/05/2008

Le Monde

« Rien pourtant ne prédestinait cet homme originaire du Texas, né d'un père pilote d'avion de la Navy, à se frotter aux démons du passé. "Blanc, sudiste et profondément croyant" comme il se définit lui-même, Jerry Mitchell reconnaît n'avoir pas été élevé dans le culte de la défense de l'égalité raciale. "Je ne savais rien de tout cela", confie-t-il. Le déclic est venu en 1989. Travaillant à la rubrique judiciaire du Clarion Ledger, le jeune Jerry est envoyé par son chef à la première de Mississippi Burning, d'Alan Parker, une fiction consacrée aux meurtres de militants des droits civiques, en 1964. Il en sortira bouleversé, horrifié par la violence du Ku Klux Klan. "Ce fut le début de mon éducation." »

Le Monde ICI

26/04/2008

Extrait

Propos extrait de l’article écrit par René de Ceccatty, sur le dernier roman de Sandro Veronesi Chaos calme, dans Le Monde du 25 avril, p.10 :

... « Citant en exergue une phrase de Beckett - « - "je ne peux pas continuer. Je vais continuer." -, le livre suspend fréquemment la narration, ce qui permet au lecteur de percevoir la réalité à travers le trouble mental de son héros. Mais Sandro Veronesi, tout en rendant hommage à l’auteur de La Dernière Bande, tient à dissiper tout malentendu : « Je ne peux pas circonscrire tous les événements dans une situation ténue ou dans un lieu symbolique comme le fait Beckett : un trou, un vide, une boîte. Il me faut définir pour chaque événement un rapport de cause à effet, alors que Beckett, qui décrit un monde absolu, n’en a pas besoin. Chaque pensée est justifiée par un événement et en a besoin, contrairement à la vie intérieure qui peut s’arrêter obsessionnellement sans qu’aucune explication ne soit nécessaire. Il est plus facile de contrôler une trame que de contrôler des mouvements intérieurs de conscience. Seuls les très grands, comme Faulkner, sont en mesure de le faire. » ...