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30/07/2013

L'invention de la globalisation

"C’est au cours du XVe siècle que les différentes parties du monde se sont connectées. Plutôt que de raconter cette histoire du point de vue d’une Europe triomphante, l’ouvrage collectif dirigé par Patrick Boucheron propose de décentrer notre regard, en suivant la piste d’autres mondialisations possibles.

 

 

It was throughout the 15th century that most of the different regions of the world became connected to each other. Rather than recount this history from the perspective of a triumphant Europe, a collective work, edited by Patrick Boucheron in 2010, suggests that we shift our point of view by following the traces of other possible globalisations."

http://www.laviedesidees.fr/L-invention-de-la-mondialisat...

11/10/2011

Subprimes

"Ces analyses occultent en partie les racines plus profondes de la crise dans laquelle est plongée l’économie américaine : pour l’historien Louis Hyman, auteur de Debtor Nation, l’endettement des ménages n’est pas un dérèglement récent, mais bien au contraire une des conditions même du « rêve américain » depuis les années 1950, pour ne pas dire sa vraie raison d’être."  Intégral :

http://www.booksandideas.net/The-Rise-and-Fall-of-Alterna...

 

20:32 Publié dans Analyse | Lien permanent | Commentaires (0)

05/10/2011

De la fable de Melville à celle des philosophes - Olivier Chelzen

"Ce livre, contenant peut-être ce qui a été écrit de plus beau sur Bartleby, appartient à une époque marquée par des auteurs qui, à leur apogée dans les années 1970, écrivent de façon indistinctement philosophique et littéraire, en tentant d’échapper à l’imposant modèle constitué par le discours scientifique. On peut donc aisément comprendre pourquoi la nouvelle de Melville, dans le défi qu’elle semble lancer à la logique du tiers exclu, les a littéralement fascinés. Malheureusement, ce temps est bel et bien révolu, selon G. Berkman, et les écrivains qui s’intéressent à Bartleby aujourd’hui ne goûtent plus aux joies de l’interprétation sans fin où le concept et la fable s’entre-répondent : le pauvre scribe est le plus souvent réduit à une plate caricature de nature publicitaire, et sa fameuse formule à un simple slogan. Que le traitement réservé à une figure littéraire soit révélatrice de l’esprit du temps, c’est aussi ce que L’effet Bartleby a pour but de faire apparaître."

par Olivier Chelzen Intégral :

http://www.laviedesidees.fr/Bartleby-le-prefere-des.html

09:00 Publié dans Analyse | Lien permanent | Commentaires (0)