Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

13/11/2020

La politique en question ♣♣♣ La paillardise en question

Lecture du jour sur le blog de  Mezetulle, enseignante de philosophie, passée sur France Culture ce matin, dont le nom est Catherine Kintzler :

 

https://www.mezetulle.fr/je-crois-a-la-politique-de-gerar...

 

Catherine Kintzler, revient sur le thème de la laïcité durant l'émission de radio. J'ai retenu notamment "le français est une langue étrangère pour tout le monde" , "il faut durant le temps d'école suspendre son appartenance et on a même le droit à la non appartenance", plus loin : "le cloître ?"  "Vous êtes dans une clairière..." ou encore : "sur l'océan de la littérature" "Non, ce n'est pas de l'isolement, c'est un ouverture".  

 

L'école en question avec Samuel Paty dans tous les esprits, et comment enseigner à l'heure d'aujourd'hui. Je vais chercher le podcast.

 

♣♣♣

 

J'ai lu le poème à l'instant, du prof de français Touraine sereine. J'ai vérifié à ce propos, la signification du mot "fancier" dans Linguee. J'ai constaté que l'on peut l'utiliser pour les oiseaux mais aussi d'autres animaux ("fancier" se traduit par colombophile, concernant les éleveurs de pigeons voyageurs et cynophile, concernant ceux qui élèvent des chiens). "Fancier" désigne les amateurs plutôt professionnels de tel ou tel animal. Touraine, a choisi de le traduire par "oiseleur". Dans sa traduction du poème déjà coquin à la base, il rajoute la paillardise Rabelaisienne avec "couilles colossales".

On dit parfois pour  les femmes qui ont du courage, qu'elles ont des couilles soi précisé en passant, la taille étant sous entendue, à l'aune de leur courage. 

 

La paillardise française est bien connue et en choque plus d'un hors frontières, sauf les Belges je crois, volontiers paillards. Il n'y a pas mort d'homme même si l'on est très choqué. C'est paillard, c'est tout.

 

On est comme on naît ? ou devient-on paillard comme on choisit un style de vie ? Ou alors parce qu'on a envie de se défouler ? d'envoyer balader les hypocrisies... c'est vous qui voyez.  J'opterais quant à moi pour la dernière hypothèse sans pour autant être paillarde d'inclination, aimant assez la dentelle.

11:58 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)

12/11/2020

SPA

Des maîtres qui dressent mal leur animal et le rendent dangereux, il y en a sûrement beaucoup. Les animaux sont aimants pour la plupart, mais un mauvais dressage peut mener au désastre, comme une mauvaise éducation pour un enfant. Le chien Curtis, serait un de ces chiens mal dressés, à moins que ce dernier ne souffre de troubles neurologiques, qui ne lui auraient pas permis de reconnaître la malheureuse jeune femme.

 

 

J'ai sous les yeux une bande dessinée qui parle de la SPA, créée en 1845 ; où j'apprends à la fin de l'album combien les animaux ont été mis à contribution durant la première guerre mondiale. Les chevaux, trop visibles en raison de leur taille, ne pouvaient circuler dans les tranchées, alors on employa des ânes, des mules, des poneys pour y travailler, sur le front, tandis que les chevaux étaient affectés avec les bœufs au transport de charges plus lourdes, à l'arrière.

 

 On employa 20 000 chiens pour prendre part aux opérations, dressés pour ne pas aboyer et ne pas attirer l'attention en général. Il faut avoir une grande connaissance des chiens pour arriver à ce résultat.  

 

Sans oublier les pigeons voyageurs pour transporter les messages du front à l'arrière,  et inversement. Dont un certain volatile nommé Vaillant, devenu célèbre.

 

Par contre les chats seraient plutôt des anarchistes car ils ne se laissent pas dresser. Ils  ont aussi leur charme. Il faut de tout pour faire un monde... 

 

 

09:41 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

10/11/2020

Selon une enquête

"Selon une enquête réalisée par le cabinet de conseils EY-Parthénon, seules 2% des Ed'tech françaises monétiseraient les données personnelles, préférant à ce modèle économique l'abonnement et la vente de prestations. Option qui a d'autres travers : que devient l'égalité entre les  établissements dès lors que tous n'ont pas les moyens de s'offrir les mêmes outils ? Quoi qu'il en soit, la question n'a pas eu l'air de chagriner Jean-Michel Blanquer, qui a redit plusieurs fois son soutien à cette filière. Lors de l'inauguration du fonds d'investissement Educapital, en 2017, le ministère s'était présenté comme une "porte d'entrée" vers un "monde difficile à comprendre, opaque et finalement peu facilitant". Une position qu'il a aussi défendue devant le Sénat où, auditionné, il a plaidé pour une "vision large, plus vaste que la reconduction des habitudes...". Fin  avril, pour aider les enseignants à assurer la continuité pédagogique, le ministère a cependant concocté en urgence une version temporaire de la palteforme Apps.education, qui privilégie des services libres."

Fin de l'extrait de l'article Les géants du numérique au premier rang, Télérama 3695, par Marion Rousset.

 

Les vertus du digital, même pour ceux qui sont outillés, posent question. Quid des autres, et aussi de ceux qui sont rétifs aux ordinateurs ? Doivent-ils se résoudre à vivre dans des réserves pour les électro sensibles, ou dans la rue pour les marginalisés compatibles aux ondes émises ?