Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

24/01/2020

Gigantomachie, titanomachie ♣♣♣ Poème du jour

Ici :

 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Cosmogonie

 

Commentaire : la figure idéale de la religion chrétienne est la Bonté, incarnée par le Christ ; mais peut-être aussi la figure idéale comporte la Bonté, dans la religion juive car on trouverait cette vertu valorisée dans la bible, en la lisant avec attention. Pour répondre plus sûrement  il faudrait que je la connaisse mieux. Le bouddhisme aussi valorise cette vertu et si cela se trouve, l'Islam aussi.  

 

Les hommes et j'entends les femmes également, ont besoin de cette intelligence suprême qu'est la Bonté car sinon, c'est la barbarie. Je regarde ces temps-ci un feuilleton qui aborde le thème, ou plutôt la problématique du trafic d'organes, où des cliniques privées pourraient, dans cette fiction, éventuellement donc, couvrir ce genre de trafic. Où est dénoncé que des personnes voulant donner un rein pour avoir un peu d'argent, se retrouvent assassinées, puis en "pièces détachées" pour alimenter ce trafic. Où est l'intelligence ? puisque l'on descend jusqu'à une forme de cannibalisme de la part de personnes se trouvant plus intelligentes que la moyenne. Où est l'obscurantisme en ce cas de figure, sinon chez ceux qui s'adonnent à ce trafic.

 

Bonté de Soolking envers les siens, un cercle de vertu qui peut toujours s'élargir. Musique très chouette de plus. Ici  :

 

 

♣♣♣

 

Léon-Paul Fargue

 

Un jour, au crépuscule, on passe, après la pluie.
Le long des murs d’un parc où songent de beaux arbres…
On les suit longtemps. L’heure passe
Que les mains de la nuit faufilent aux vieux murs…

 

Mais qu’est-ce qui vous trouble au fil de l’heure pâle
Qui s’ourle aux mains noires des grilles?
Ce soir, le calme après la pluie a quelque chose
Qui fait songer à de l’exil et à la nuit…
On entend le bruit nombreux
Des feuilles partout
Comme un feu qui prend…
Des branches clignent.
Le silence épie
Et il passe des odeurs si pénétrantes
Qu’on oublie qu’il y en ait d’autres
Et qu’elles semblent l’odeur même de la vie…

 

Plus tard, un peu de soleil dore
Une feuille, et deux, et puis tout!
Alors, l’oiseau nouveau qui l’ose le premier
Après la pluie
Chante!
Et comme une âcre fleur sort d’une lampe éteinte
Il monte de mon cœur l’offrande d’un vieux rêve…

 

Un rayon rôde encore à la crête du mur,
Glisse d’une main calme et nous conduit vers l’ombre.
Est-ce la pluie? Est-ce la nuit?
Au loin, des pas vieux et noirs
S’en vont
Le long des murs du parc où les vieux arbres songent.

 

Léon-Paul Fargue,  Au fil de l’heure pâle, dans: Pour la musique (espritsnomades.com)

image: Parc Monceau, Paris / France (photo-paysage.com)

 

Lu sur le Blog Jubilate Deo

 

***

Léon-Paul Fargue, poète et piéton de Paris :

https://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9on-Paul_Fargue

 

 

23/01/2020

Muets ♣♣♣ Curiosité linguistique

La chose mille fois constatée, que les grandes douleurs sont muettes est vraie à mon sens. On le voit avec les retraites. Ceux qui font des travaux pénibles, qui leur brisent le dos, on ne les entend pas. Ceux qui mettent des vies en péril en coupant l'électricité notamment (cela a fait des morts), on les entend réclamer depuis des semaines.

Je suis du côté des dos brisés, il faudrait leur donner la retraite à cinquante ans. Moins les travaux sont pénibles, moins on devrait gueuler.

 

Je ne crois pas en la politique ultra libérale et capitaliste sauvage comme c'est le cas depuis que le capitalisme existe. Je crois au partage, à la vraie noblesse donc à l'intelligence en lien avec la bonté.

 

♣♣♣

 

Ici :

http://lebienecrire.hautetfort.com/archive/2020/01/23/curiosites-linguistiques-grand-rue-6201239.html

08:20 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

22/01/2020

La Force

 

"Force

 

Elie, en marche vers le mont de Dieu, s'assoit, fatigué, brisé et même démotivé. Un ange lui offre du pain et de l'eau pour qu'il mange, qu'il reprenne des forces et poursuive son chemin. Paul, sur le bateau, encourage ses compagnons à manger, parce que “c'était nécessaire pour leur salut !”Comment auraient-ils pu affronter à la nage et sans force la dernière étendue de mer jusqu'à la terre, après tant de jours sans nourriture ? Notre Père nous donne chaque jour notre pain quotidien. Il le donne à tous et nous apprend à le lui demander parce qu'il a préparé pour nous, un pain si bon pour nous nourrir de sa propre vie divine. La même Parole de Dieu est pain et vie du christianisme : que la force de ce pain nous soutienne tout au long du chemin."

14:19 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)