13/10/2018
La colone vertébrale : gentils exercices en position couchée, puis debout
Merci pour le dos ! J'aime !
C'est ici :
En position debout :
Mon commentaire :
Prendre soin de soi, c'est prendre soin des autres. Je vois que, en faisant ce genre de gymnastique, on s'ouvre à soi même, et par là même, aux autres. On est beaucoup plus en mesure de rendre service. D'ailleurs les personnes qui font ces vidéos rendent un service qui confine au merveilleux. Cela augmente la capacité d'aimer.
08:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
11/10/2018
Le cheval ailé ♣♣♣ le méridien du foie
Lorsque j'étais enfant, je ne connaissais pas le mythe de Pégase, et pourtant je rêvais que le cheval blanc de nos voisins fermiers, lequel se trouvait souvent dans la pâture toute proche, franchissait la clôture, prenait la voyette qui conduisait à la maison, et nous attendait, mes sœurs et moi. Il avait de grandes ailes.
https://www.stelvision.com/astro/randonnee-celeste-de-peg...
♣♣♣
"J'ai" plusieurs qi gong des yeux. À faire plus régulièrement : tous les jours si possible. Il y a celui de Bruno Bravo (super!), celui de Chrystel (dans rééquilibrages), celui de Maryse (+ une mudra), et enfin, celui de Nicolas. Selon les jours je ferai l'un ou l'autre. Je les aime tous. Pour l'heure, je pense que je suis "obligée" de faire celui-ci tous les jours, en plus de l'un ou l'autre parce que c'est un condensé (un peu complexe au début) pour renforcer l'immunité, et améliorer l'état du foie pour pulser la vue. Ici :
11:05 Publié dans ciel | Lien permanent | Commentaires (0)
05/10/2018
Défaite au parfum de... ou porte ouverte sur une autre dimension ♣♣♣ Guy Gilbert
Une photo trouvée sur le site du Daily Ray of Hope.
De Joan K Amero, qui l'a prise dans l'Orégon.
"To be overcome by the fragrance of flowers is a delectable form of defeat."
~ Beverley Nichols
Etre envahi par le parfum des fleurs est une forme délectable de défaite.
♣♣♣☺
"Guy Gilbert
Nous aimons notre Eglise avec ses limites et ses richesses, c’est notre mère. C’est pourquoi nous la respectons, tout en rêvant qu’elle soit toujours plus belle. Une Eglise où il fait bon vivre, où l’on peut respirer, dire ce que l’on pense. Une Eglise de liberté. Une Eglise qui écoute avant de parler, qui accueille avant de juger, qui pardonne sans vouloir condamner, qui annonce plutôt que de dénoncer. Une Eglise de miséricorde.
Une Eglise où le plus simple des frères comprendra ce que l’autre dira, où le plus savant des chefs saura qu’il ne sait pas, où tout le peuple se manifestera. Une Eglise de sagesse. Une Eglise où l’Esprit-Saint pourra s’inviter parce que tout n’aura pas été prévu, réglé et décidé à l’avance. Une Eglise ouverte. Une Eglise où l’audace de faire du neuf sera plus forte que l’habitude de faire comme avant.
Une Eglise où chacun pourra prier dans sa langue, s’exprimer dans sa culture, et exister dans son histoire. Une Eglise dont le peuple ne dira pas: Voyez comme ils sont organisés, mais dira: Voyez comme ils s’aiment. Eglise des banlieues, des rues et des cités.
Tu es encore petite, mais tu avances. Tu es encore fragile, mais tu espères. Lève la tête et regarde: le Seigneur est avec toi.
Guy Gilbert, La messe: un enchantement déserté (Philippe Rey, 2017)"
Lu ce matin dans Jubilate Deo
07:31 Publié dans Lecture, Photo | Lien permanent | Commentaires (0)