30/03/2018
Une remise en question ♣♣♣ Le festival du goéland masqué
Remise en question d'une femme heureuse d'abord ☻, puis plus heureuse encore ensuite ☻☻. J'ai retenu notamment la remise en question des 11 vaccins imposés. Merci à elle pour son témoignage. C'est ici :
http://lejourou130113.hautetfort.com/archive/2018/03/29/j...
♣♣♣
Le festival du Goéland masqué, c'est ici :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Festival_du_go%C3%A9land_ma...
Un extrait de La danse des masques de Jean-François Coatmeur :
"Elle répéta :
— S'il y a quelque chose que je puisse faire pour vous...
Enfouie dans la voix neutre de la grosse fille, une immense pitié. Un cœur brûlait sous l'enveloppe ingrate, le cœur de Charley*.
— Merci. Il faut que je parte.
Il la laissa brusquement, sortit, rattrapa en courant la 4L, salué par les trompettes discordantes des volatiles*. "
* Charley est le père de la "grosse fille."
* le fuyard est allé demander du secours à Charley. Ce Charley élève des paons. Il est un marginal.
La danse des masques de Jean-François Coatmeur a été publié chez Albin Michel.
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29/03/2018
le flirt ou le filtre ? ♣♣♣ La coulée verte
Extrait d'un article de Global sur la guerre au Yémen :
"Coming March 26, 2018 Saudi Arabia will have been at war with impoverished Yemen for a punitive 3 years.
Three years of an implacable and murderous military campaign that witnessed the death of over 15,000 people – of which mostly unarmed civilians; saw the destruction of civilian infrastructures to the point where Yemen’s health and sanitation systems have all but collapsed; and architected a humanitarian blockade that led to a grand famine and the spread of diseases.
Yemen’s 26 million people are in a race against time for powers greater and richer than their own seek to impose their will, and their design onto a nation whose only ambition has been to stand free, sovereign and independent.
Yemen has become a terrible statistic – one of death, misery, hopelessness and devastation.
Yemen one would argue exists beyond all manners of contention … when an entire nation sits on the verge of famine, plagued by pestilence, it skies darkened by warplanes, politics quickly becomes irrelevant. And yet, politics we have been told has demanded that more violence still be spent on a people whose lives are but hanging by a thin thread.""
Le filtre de la langue anglaise aide quand les informations sont catastrophiques.
Voici ce poème qui fera ici office de "commentaire" à la catastrophe de la guerre au Yémen :
If my heart could do the thinking
And my head begin to feel
I'd look upon the world anew
And know what's truly real
~ Van Morrison
♣♣♣
La coulée verte. Me renseignant sur le 15è arrondissement de Paris, j'ai lu quelque chose dont j'avais déjà entendu parler. Une ligne de chemin de fer, concurrencée par le métro, formant ou desservant "la petite ceinture", désaffectée depuis un certain temps devient Parc linéaire, Espace Vert, ouvert au public.
Ici : ☻ ☺
11:43 | Lien permanent | Commentaires (0)
28/03/2018
Qui déforeste en Haïti ? ♣♣♣ Face au mur ♣♣♣ Shadok
Extrait du site La Vie des Idées :
"Malgré la richesse de son histoire et de sa culture, Haïti demeure le pays le plus pauvre de l’hémisphère occidental, et on lui associe souvent des images de pauvreté, de violence et de déforestation extrême. En 1987, National Geographic a attiré l’attention du public sur la dissymétrie entre la déforestation en Haïti et la déforestation en République Dominicaine, où le gaz est la principale source de carburant, alors que le charbon de bois constitue le gros de la consommation de carburant en Haïti. Depuis les années 1980, la déforestation fait partie des quelques images que les médias grand public reprennent constamment au sujet d’Haïti, et qui influencent la façon dont le pays est perçu sur la scène internationale."
Intégral :
http://www.laviedesidees.fr/Qui-deforeste-en-Haiti.html
♣♣♣
"La semaine dernière, le Congrès a voté pour l'achat de nouvelles fortifications le long de la frontière américano-mexicaine, mais les militants des frontières de la vallée du Rio Grande affirment que la lutte contre le mur frontalier du président Donald Trump est loin d'être terminée.
Le financement de près de 1,6 milliard de dollars du mur frontalier inclus dans le projet de loi omnibus que Trump a signé vendredi prévoit la construction de quelque 33 milles de nouveaux remparts, tous dans la vallée du Rio Grande, écologiquement importante au Texas. Ces murs déchireront les communautés, les fermes et les terres d'élevage, les sites historiques et des milliers d'acres d'habitat faunique protégé, tout en créant des risques d'inondation des deux côtés de la frontière. Mais loin d'admettre la défaite, les militants des frontières ont déjà commencé à définir les prochaines étapes pour faire pression sur le Congrès pour qu'il ralentisse ou même stoppe la construction du mur."
Extrait lu dans Sierra club
♣♣♣
Rubrique shadok
Comment nomme-t-on une "personne chez qui ou aux frais de qui on dîne" ?
Réponse :
un amphitryon.
Peut-on dire une amphytrionne ? Non. D'après mon correcteur d'orthographe.
Ensuite, fort de cette définition, on peut comprendre la blague lue sur le blog Court toujours :
"Quand mon verre est vide, je crains Alzheimer chez mon amphitryon. Ici, pas encore de problème." ☺
Trois autres blagues de shadok lues ce matin sur ce blog :
"C’est un trouduc cinq hémorroïdes".
Explication de texte :
la blague est construite comme dans la phrase "c'est un hôtel cinq étoiles." ☺
Les deux autres blagues shadok lues sur ce même blog :
"Nous ignorons pourquoi nous sommes sur Terre mais nous comprendrons bientôt pourquoi vous n’y serez plus."
"Tous les hommes naissent égaux, sauf les psys qui naissent ego." ☻☻
Merci pour ces irréflexions du jour Court, toujours !
09:11 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)