14/04/2014
Entendu hier à la radio
J'ai entendu une émission de radio de Stéphane Paoli, hier en fin de matinée. On y a parlé d'écologie, à savoir : pourquoi ce déni de nombreux citoyens, malgré les médias qui en parlent très souvent, du réchauffement climatique ? Micro-trottoir où les parisiens répondirent à plusieurs reprises que les lobbys, selon eux, bloquaient les choses, toujours pour des questions de profit. Qu'il fallait un mouvement coordonné général avec prise de conscience à l'échelle mondiale pour stopper les nuisances de l'homme sur la planète. N'est-ce pas déjà trop tard ? Les traces laissées par l'homme ne s'effaceront pas avant longtemps paraît-il... à terme la Terre finira par être débarrassée de l'espèce humaine qui la met tant à mal disaient les invités de Stéphane Paoli, en tant que scientifiques. Les citoyens interrogés sur le mode du micro trottoir répondirent aussi que la question de l'écologie ne devrait pas être du ressort d'un parti politique, j'ai entendu l'un d'eux dire que l'écologie, pour que l'on s'en occupe enfin au niveau individuel et collectif devait sortir d'entre les mains des politiques, sinon, par rejet de ces derniers, le déni du réchauffement climatique perdurerait. Je pense qu'il est temps que nous passions à une démocratie réellement participative, faute de quoi de plus en plus de monde, se sentant enfermé dans un système oligarchique, risque de ne plus se sentir concerné par les questions cruciales, notamment celle du changement de mode de vie en vue d'adopter une attitude de respect de la planète. Stéphane Paoli invita ensuite à s'exprimer des journalistes de l'Huma qui parlèrent, eux, de révolution écologique et anthropologique allant de pair, de respect encore afin que les populations ne mangeant pas à leur faim sur notre planète actuellement, soient enfin secourues.
Sur France Culture j'avais entendu auparavant la question de la sécurité sociale en France, nous serions le pays d'Europe le plus inégalitaire. Des gens en France, nombreux, faute de pouvoir se payer une mutuelle, tout comme aux Etats-Unis, renoncent à se soigner.
La radio dans l'ensemble mène une belle lutte, en dehors des sentiers battus, je lui souhaite bonne continuation.
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13/04/2014
Artois
Une eau jaillissante, jets d'eau de source, fraîches petites fontaines naturelles : les puits artésiens. Phénomène géologique des plus charmants.
Artésien, c'est-à-dire d'Artois. Les habitants d'Artois, artésiens donc, furent surnommés un temps "boyaux rouges", peut-être, à l'origine, par jalousie de la part des picards qui devaient payer l'impôt sur le sel, alors que les artésiens en étaient exemptés.
« I minge't tellemint d'sé qu'i'n n'ont leu boyaux rouches comme un'n crête ed'dindon » (Ils consomment tant de sel que leurs boyaux sont rouges comme une crête de dindon). Ici :
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11/04/2014
Lu ce matin
Le texte de ce matin dans Englishtown était intéressant. Beaucoup de mots en Amérique, pour désigner des métiers ou activités professionnelles ou de mode de vie, ont la préférence à d'autres, synonymes, à seule fin que n'intervienne pas la notion de sexe. Le travail d'une personne, son job, n'est pas défini par la nature d'un sexe mais par la fonction que le mot doit représenter. Ceci pour évidemment décourager sexisme et discrimination.
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