Pas vu Samuel

Aujourd'hui je me suis rendue à l'hosto pour une visite à Samuel, j'avais acheté du raisin bio afin qu'il se régale sous le chaud soleil d'automne. De peur qu'il n'y ait un problème j'avais téléphoné une heure auparavant pour confirmation de la visite, afin qu'il ne loupe pas ce moment sous le soleil radieux. Arrivée là-bas, j'ai attendu un certain temps, j'ai vu défiler pas mal de jeunes gens en blouse blanche arborant des sourires bananes qu'ils s'adressaient mutuellement tandis que j'étais dans le hall en train d'attendre. J'ai eu la sensation que quelque chose n'allait pas, Sam n'arrivait toujours pas. Malaise, cœur qui bat trop vite, tension artérielle qui fait des siennes. Je tape doucement à la porte du secrétariat ( j'allais dire du commissariat je ne sais pas pourquoi), la secrétaire me dit qu'elle va leur demander ce qui se passe. Le malaise grandit, je parle bas, comme quoi je n'ai pas le temps, que j'ai des gens à voir et je me sauve pour ne pas étouffer sous l'effet du malaise. Sam dans sa piaule, ne verra pas le ciel bleu, si bleu d'aujourd'hui.  

Personnellement, les blouses blanches m'angoissent tellement parfois que dans le cas de figure de Samuel, je me sentirais délivrée avec l'arrivée de robots qui m'aideraient, me seconderaient auprès de Sam. "Les robots arrivent" disent certains avec angoisse alors que pour moi ils représentent désormais un espoir.

Un chanson pour lui,  parce que je ne trouve pas les mots pour prier.

 

 

  

 

  

Photos prises ces derniers jours

Voici la renouée tant redoutée, ici elle pousse sans apparemment causer de problèmes aux autres plantes. 

 

La jardinière qui prend soin de cet araucaria, m'a dit que petit il fallait prendre des précautions l'hiver (voilage, etc.) et qu'ensuite il n'avait aucun problème à se trouver dans un climat du nord de la France.

Béthune, ville aux aspects ruraux, ici c'est encore le centre-ville.

 

au parc de la gare d'eau, pas loin du centre.

J'ai zoomé. Je me trouve derrière une petite haie. 

 

Quartier Catorive, encore assez campagnard.

 

Fagus sylvatia purpurea, un hêtre pourpre.

 

évocation d'un veilleur parmi d'autres.

Glorieux glands du chêne.

 

La redoutée "renouée du Japon",  splendides fleurs blanches. 

 

Le hêtre pourpre, enveloppes ouvertes, faînes libérées... elles seraient comestibles, à revérifier. 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

 

   

Vers une nouvelle écologie

"Où se situent les lieux de notre espoir et de nos efforts souhaitables ? Mais il pose aussi la question plus profonde de la pertinence et de la charge de la mesure : que choisit-on de mesurer ? Donne-t-on à l’Etat le droit de tout mesurer ? Et notamment : doit-on lui donner accès – un accès mesurable – à ce qui compte le plus pour nous ? Ce qui compte le plus ne serait-il pas précisément ce qui ne peut être comptabilisé - l’innombrable – le « gratuit » ?"

http://vad-clara.hautetfort.com/archive/2013/08/06/ce-qui...

Note perso : notre ordinateur a attrapé un méchant virus, il arrive que des mots se mettent, sans notre accord évidemment, en surbrillance et renvoient à une pub, pollution et parasitage... il se pourrait, espérons-le, que ce triste sort serait réservé aux seuls utilisateurs de l'ordinateur pollué.