un programme de renutrition des enfants ...

"Dans nos contrées, le sucre est parfois banni des menus car il est souvent trop consommé. Dans certains pays en voie de développement, il est une arme contre la malnutrition 

Depuis quelques années, Médecins Sans Frontières (MSF) a mis en place un programme de renutrition des enfants à base d'une pâte alimentaire appelée Plumpy Nut. Mise au point par le Dr André Briend et l'ingénieur agronome Michel Lescanne, cette pâte est composée de sucre (23%), de matières grasses (23%), d'arachides (23%), de lait en poudre (16%) et de vitamines et de minéraux.

Distribué en sachet individuel, Plumpy Nut a l'avantage de se conserver très longtemps et permet de nourrir les enfants chez eux et pas nécessairement à l'hôpital. Par contre, sa fabrication coûte cher et la flambée des matières premières comme le lait n'a pas arrangé les choses. Contactée par MSF, utilisateurs du produits dans des pays comme le Niger ou Haïti, l'interprofession française du sucre a fait un don de 100 tonnes de sucre dans le cadre d'un partenariat avec l'entreprise Nutriset qui fabrique Plumpy Nut.

A cause des prix élevés des matières premières et la crise mondiale, 2009 s'annonce déjà comme une année noire pour la faim dans le monde. La malnutrition toucherait plus de 20 millions d'enfants dans le monde." 

http://www.cuisine.tv:80/cid27019/du-sucre-contre-la-maln...

Roman, assurément, chaque nouvelle se répondant...

"Roman choral ou nouvelles ? Roman, assurément, chaque nouvelle se répondant dans une chronique à la fois magique et familiale de l’Irlande : Emily, Jessica et Enye incarnent trois générations de femmes confrontées à la magie nationale. Mais la vraie héroïne de ces histoires, c’est la terre irlandaise, encombrée de mythes, de créatures magiques et surnaturelles, de sorts, de malédictions, de vestiges anciens d’une religion de la nature, de fées, de sidhes, de phage… Et sur cette terre qui ressemble à un océan battu par la magie et le progrès, la marée des mythes est matérialisée par un passage étrange, le mygmus, qui charrie une magie désormais enfuie. Que ce soit Emily, à la fin du XIXe siècle, Jessica au milieu du XXe, ou encore Enye dans une Irlande contemporaine, chaque héroïne, dans son face à face avec le mygmus, incarne un choix, celui du monde des mythes et de la magie… Un choix non pas riant, facile, mais dur, âpre, qui vous marginalise, un choix qui mène à la folie, à la souffrance, à l’oblitération même… ou à autre chose, cet Outremonde entrevu par Emily. Le monde des fées, enfer ou paradis ? ..."

http://www.parutions.com:80/index.php?pid=1&rid=1&srid=374&ida=10599

Le pouvoir

La frontalité est la caractéristique de son écriture : « Le dos des intellectuels chinois n’a jamais pu se redresser. Combien de fois de manière incalculable avons-nous été violés par chaque pouvoir ? » Et Liu lui répond en écho : « Pour résister à la tyrannie, je n’use pas des armes mais de la beauté. » Qu’hommage soit rendu par ailleurs au talent des traducteurs.

 

http://www.monde-diplomatique.fr:80/2008/12/GANDINI/16736