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28/08/2008

La différence

Certains crimes nombreux mais isolés sont souvent classés dans la rubrique faits-divers puis oubliés très vite  ; d’autres méfaits équivalents sont ignorés parce que mentionnés nulle part. Triste logique d’une société sans imagination, qui n’accepte pas la différence. Mais  pourra-t-elle se distancier encore longtemps de la lourdeur de ces "non-évènements", classés ou pas dans les rubriques journalistiques ? Se délester de la méchanceté ordinaire ... parce que l'autre en soi n'est de toute façon et heureusement pas éliminable, demande-t-il autant de ressource ?

08:23 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (1)

24/08/2008

Site

"Quelques constats:

C'est la société qui décide pour nous de ce qui est bon pour chacun d'entre nous et souvent à seule fin d'une reconnaissance sociale: il vaut mieux encore aujourd'hui être avocat ou médecin que maraîcher ou électricien.
Ce besoin de reconnaissance a pour conséquence la violence qui, dans un groupe ou chez une personne, consacre la compétition entre les êtres. Pour obtenir cette compétition et les résultats qui les valident, les éducateurs recourent souvent à des injonctionss contradictoires, alternant menaces de punitions et promesses de récompenses si... En d'autres termes le chantage."

"Or nous savons tous que nous ne progressons que lorsque l'inattendu montre son nez, nous oblige à sortir de l'ornière de nos certitudes. Nous ne progressons que lorsque les tests et épreuves que l'on nous fait passer, réussis ou totalement contre-performants sont vécus, non pas comme une définition figée de notre personne dans le regard d'autrui, mais restitués à " leur fonction première de soutien et d'initiation de processus"."

 

 ICI

04:05 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

23/08/2008

Conte de la petite fille ...

... qui ne souriait jamais ... :

"Dans sa menotte refermée sur bien des audaces rentrées chantait un grillon. C’était son seul ami. Lorsqu’elle le rapprochait de son oreille, il lui murmurait :

- Nous sommes si bien ici, que veux tu de plus ?

- Je voudrais enfin sourire..

- Le sourire est une décision, sais tu ?

- La volonté ne me suffira pas.. j’ai aussi besoin de rêves

- Quels rêves ?

Et elle répondait invariablement … " SUITE

20:46 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)