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28/05/2008

Red Blues

"C'est pour célébrer ces vies gâchées, ces êtres dépossédés de tout, qu'il s'est, à 20 ans, voulu écrivain. Oubliez ses romans, honorables (le dernier, Flight, vient de paraître), jetez-vous sur ses poèmes, réunis dans une magnifique anthologie publiée chez Albin Michel sous le titre Red Blues." L'Express 

27/05/2008

Jules Vernes

 Je vous propose un peu de lecture avec Jules Vernes

Si T. Artelett eût été Français, ses compatriotes n’auraient pas manqué de le nommer plaisamment Tartelett. Mais, comme ce nom lui convient, nous n’hésiterons pas à le désigner ainsi. D’ailleurs, si Tartelett n’était pas Français, il était digne de l’être. Dans son Itinéraire de Paris à Jérusalem, Chateaubriand parle d’un petit homme « poudré et frisé comme autrefois, habit vert pomme, veste de droguet, jabot et manchettes de mousseline, qui raclait un violon de poche, et faisait danser Madelon Friquet aux Iroquois."   ICI

 

07:58 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

Laëtitia Nicolas est chercheur en anthropologie

Que veut-on signifier par cet acte ?

« Parfois, les gens sont clairement militants et conscients de leur message. Ils veulent dire «faîtes attention, la route c'est dangereux». En général, ces bornes de mémoire sont très claires : elles ont un message écrit avec le nom, le prénom du défunt, son âge, les circonstances de la mort et un message d'alerte. Ou alors, c'est pour exprimer sa peine. C'est alors un geste spontané, affectif et passionnel, qui veut aussi appeler une compassion ».

En somme, ce geste, c'est aussi la démonstration de la peine...

« C'est la visibilité de l'émotion. On a de la peine. On le montre. On montre l'intime. »

Est-ce que cela peut faire du bien aux proches ?

« Oui. Cela peut faire partie du processus de deuil. »

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