21/07/2014
Vu cet après-midi
Il a plu de façon très drue, d'où une modeste récolte de framboises dans le patio, nous en mangerons à dose homéopathique ce soir, en accompagnement d'une banane coupée en rondelles. Après la soupe de poireaux, où j'ajouterai quelques haricots rouges et un peu de lentilles. La récolte de framboises :
Si le soleil daigne revenir et les limaces partir ou être moins voraces, nous pourrions manger quelques fraises bientôt....
Fleurissement du rosier, en dépit des averses. Il est grimpant et utilise un framboisier pour s'accrocher, (j'allais relire s'accoucher). Un pissenlit géant et fleurissant lui aussi, lui tient compagnie.
Des roses blanches sont revenues, se pointant au sommet du rosier que j'ai tuteuré. Sur la photo elles forment comme des blancs réservés attendant l'arrivée d'une peinture quelconque, en vrai leurs tiges se balancent doucement sous la bise au bout desquelles elles penchent doucement leurs têtes un peu plus grosses que n'en peut supporter le rosier, mais elles s'insèrent bien dans le vrai tableau au naturel.
14:04 | Lien permanent | Commentaires (0)
L'aulne
Etant donné sa fructification, celui-ci est un aulne à mon avis, je l'ai photographié hier :
Les arbres sacrés chez les Celtes : http://www.angelfire.com/wi3/magicia/Arbres.htm
10:46 Publié dans Mes photos de balade | Lien permanent | Commentaires (0)
Crépuscule
Hier soir je suis allée consulter un blog où était mis en lien le journal Le Parisien, lequel montre une photo d'un adolescent palestinien, le regard éteint, l'air accablé par le destin. Destin qui s'est manifesté par le pilonnage d'une zone où son frère a péri, il vient d'aller le reconnaître à la morgue avec ses parents. Impossible de mêler Dieu à cela, c'est une histoire d'hommes, de domination de l'un par l'autre, toujours la même histoire d'hommes. Nous console le temps en ces cas-là, parce qu'avec le temps va tout s'en va... pour un ailleurs.
Le temps à travers moi aussi
Méchant avec moi sur un certain plan, mais je suis un peu aidée pour passer le cap.
08:03 | Lien permanent | Commentaires (0)