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02/08/2014

Rockin' Vincent

Dans la cadre de "Pochette surprise", 14 pochettes de disque pour 14 auteurs et 14 nouvelles inédites mises en ligne au cours de l'été, voici le texte de Patrick-S. VAST, "Rockin' Vincent", en hommage à Vince Taylor :

 

http://www.oyoboo.com/pochette-surprise-n5-rockin-vincent...

01/08/2014

Quinze jours ailleurs : le film vu ce soir

un film de Didier Bivel. Qui remet en question les priorités sociales des contemporains, pointe du doigt le contact humain mis à mal dans la société d'aujourd'hui et où l'on voit un personnage de femme, Hélène,  dérivant mentalement, jouée par Judith Chemla. Dans d'autres sociétés comment soignerait-on son mal ? Par exemple chez les Indiens, du temps où ils pouvaient vivre selon leurs valeurs, leur culture. À un moment donné, un petit chien qu'elle nomme Médoc arrive à point nommé pour une relation de confiance, chaleureuse. Se pose la question de la famille d'Hélène, qui donne des signes de non amour  à l'égard de celle-ci. Où l'on voit dans cette histoire qu'Hélène est un temps "couvée" à en étouffer dans un service psychiatrique coupé des réalités sociales qui concernent leur patiente, et auxquelles elle sera à coup sûr âprement confrontée après avoir été relâchée sans travail dehors, autrement dit sans moyen pour se défendre,  d'autant moins qu'elle n'a plus de famille si tant est qu'elle en ait jamais eu une, cela on ne le sait pas. Un film qui pose question, plus subtilement que Vol au-dessus d'un nid de coucou. Et très bien interprété : belles actrices non narcisso (ce qui libère l'espace de réflexion, me concernant en tout cas) et Didier Bourdon en grand acteur. En fait tout le monde a bien joué son rôle dans ce film.

22:07 Publié dans cinéma | Lien permanent | Commentaires (0)

31/07/2014

La mer à courir sur France Culture : les bonnes feuilles

À propos de Bernardin de saint Pierre : http://www.alalettre.com/saint-pierre-oeuvres-paul-et-vir...

 

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Photo de Lindell Dillon, Oklahoma, ainsi commentée par le Daily Ray : la jeunesse est heureuse parce qu'elle a la capacité de voir la beauté. Quiconque demeure capable de voir la beauté jamais ne devient vieux.

Kafka

Youth is happy because it has the capacity to see beauty. Anyone who keeps the ability to see beauty never grows old. 

 

23:53 Publié dans Livre | Lien permanent | Commentaires (0)