23/05/2008
plante énigmatique
En fin d’automne j’avais semé quelques graines dans un pot avant de passer très vite à autre chose. J’avais acheté le sachet de graines dans l’espoir de fleurir le petit jardin l’hiver, mais je me suis rendue compte une fois rentrée chez moi en consultant de plus près l’étiquette que la date de semence était largement passée. Un certain sentiment de contrariété me fit oublier le nom de la plante aussitôt le sachet vide jeté à la poubelle. Mais les semences avaient bel et bien pris place dans une terre prête à accueillir de nouvelles invitées n’importe quand. Quelques temps plus tard en effet, surprise : les graines retardataires se sont développées, des plantules se pointent. Je regrettai de ne pas avoir conservé le sachet, perdant en même temps le nom de ce qui était en train de pousser. Mais est-ce que ça allait tenir avec le froid des contrées nordiques ? Eh bien oui, des tiges feuillues poussent quand même, régulièrement. Puisque c’est comme ça, j’enveloppe le pot d’un voilage de jardinage, en écharpe et je les tiens à l’oeil. Les tiges ont poussé jusque 50 à 60 centimètres jusqu’au printemps puis se sont mises à fleurir précocement, à la mi-mai.
Mais quel est le nom de ces fleurs qui ont vraiment de la gueule, c’est le cas de le dire. Cliquez Ici si vous voulez le savoir.
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22/05/2008
ma prochaine lecture
« Stéphane Audoin-Rouzeau commence et termine son ouvrage sur un double souhait. En premier lieu, que son livre puisse contribuer à combler une immense lacune dans le travail collectif des sciences sociales, spécialement en France, où l’analyse de la guerre comme expérience de la violence n’est pas comprise comme "objet d’investigation légitime". En second lieu, que son travail soit discuté et prolongé par d’autres. Plutôt qu’une œuvre définitive, cette somme veut être un travail de pionnier – d’ouvreur de route, dit-on dans l’infanterie. Il prend d’ailleurs le plus grand soin d’instruire des questionnements qu’il laisse sans réponse, et de proposer quelques unes de ses observations comme autant de balises pour l’avenir de la recherche. »
Si cela vous dit, c'est Ici
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21/05/2008
Le jardin de Béatrice
« Autrefois, nos mères et nos grands mères raffolaient de cette plante facile en tout point, on disait autrefois que c'était la plante à mémère, et les anglais la surnomment encore Ortie Peinte! Les coléus sont originaires du Pacific sud, et il n'y a pas deux plants qui aient la même teinte, … Autrefois, c'était la plante la plus populaire, elle fut délaissée mais elle revient en force avec de nouveaux coloris et cultivars. » Ici
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