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24/09/2013

Amma

En Inde, une personne qui n'est pratiquement pas allée  à l'école, et qui rassemble beaucoup d'intellectuels de son pays autour d'elle... elle est célèbre aujourd'hui, mais je ne connaissais pas son parcours. "Peace is its own reward." 

   

"Le M. A. Math, l'ONG fondée par Amma, a développé depuis plus de 20 ans un vaste réseau d’œuvres caritatives, incluant distribution de nourriture, construction de logements gratuits, pensions pour des veuves, orphelinat, éducation et formation professionnelle, santé (soins gratuits, hôpitaux…).

Le M. A. Math a aussi développé un campus universitaire qui, en quelques années, est devenu une figure de proue dans le domaine de l'informatique et de la recherche. L'université travaille avec le gouvernement de l'Inde pour développer l'éducation dans toutes les couches de la société ainsi que dans les lieux reculés (lancement du projet Amrita-ISRO avec le président de l'Inde, et accord avec les universités des États-Unis, avec le premier ministre indien)" Intégral :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Mata_Amritanandamayi

22:09 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

Vers une nouvelle écologie

"Où se situent les lieux de notre espoir et de nos efforts souhaitables ? Mais il pose aussi la question plus profonde de la pertinence et de la charge de la mesure : que choisit-on de mesurer ? Donne-t-on à l’Etat le droit de tout mesurer ? Et notamment : doit-on lui donner accès – un accès mesurable – à ce qui compte le plus pour nous ? Ce qui compte le plus ne serait-il pas précisément ce qui ne peut être comptabilisé - l’innombrable – le « gratuit » ?"

http://vad-clara.hautetfort.com/archive/2013/08/06/ce-qui...

Note perso : notre ordinateur a attrapé un méchant virus, il arrive que des mots se mettent, sans notre accord évidemment, en surbrillance et renvoient à une pub, pollution et parasitage... il se pourrait, espérons-le, que ce triste sort serait réservé aux seuls utilisateurs de l'ordinateur pollué.  

23/09/2013

Le chemin des morts de François Sureau

Extrait de l'article :

"...Face aux juges, Ibarrategui parle une langue dont «les inflexions métalliques parfois» ou «la voix plus sourde» portent leur poids de chair et d’entrailles, la langue de la tragédie : « […] il irait – je ne suis pas sûr qu’il ait employé ces mots là – au devant de son destin» (p. 44). Il parle «du très vieux combat» où il est entré, «un combat à mort, où personne ne pouvait compter sur l’oubli et le pardon. […] En me regardant, il me dit qu’il ne souhaitait pas, s’il venait à être assassiné, que quiconque se sente responsable de sa mort» (p. 45). Cette langue, intraduisible dans la langue du droit, ne peut être entendue dans l’enceinte du Conseil d’État. La dernière phrase est ressentie comme une «gifle», un «chantage moral» (p. 46). Javier Ibarrategui est un homme seul. Promis à la mort par l’extrême-droite espagnole (les milices du GAL), il a aussi contre lui ses anciens camarades de l’ETA et l’extrême-gauche française qui ne lui pardonnent pas d’avoir désapprouvé l’assassinat de Carrero Blanco, et désormais, la République française. La confession s’achève avec la narration des conséquences de cet arrêté sur le narrateur lui-même : l’ombre du Basque l’habitera chaque jour comme sa conscience qui ne le laisse plus en repos."  Intégral :

http://www.juanasensio.com/archive/2013/09/17/le-chemin-d...

21:22 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)