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23/01/2018

Le patron ou le protecteur des Sans domicile ♣♣♣ Le chiffre manquant ♣♣♣ Evolution dans l'espace

 

Dans la religion chrétienne  "patron", veut aussi dire protecteur. Donc on peut chanter sans ironie "Merci patron, tout ce que tu as fait pour nous, un jour Dieu te le rendra", je dis bien chanter sans ironie, littéralement, les patrons de la religion chrétienne. Etre protecteur quand on est dans une situation de force par rapport à des personnes en situation périlleuse, ce n'est pas un déshonneur, au contraire. Je me trompe ? Hé bé non, je ne le pense pas. Bref, voici de quoi il retourne concernant le patron des sans domicile :

 

"Saint Jean l'Aumônier (VIIème siècle)

 

Originaire de l'île de Chypre, cet ancien fonctionnaire impérial n'était plus très jeune quand il devint patriarche d'Alexandrie. Dès son arrivée, il recensa les pauvres et les sans domicile fixe. Et c'est ainsi que 7.500 pauvres chaque jour furent secourus par l'Eglise d'Alexandrie. Un jour qu'il voyait ses fidèles quitter l'office avant qu'il soit terminé, il partit les rejoindre, avec ses ornements liturgiques, en leur disant avec humour: "Je dois partir à la recherche des brebis égarées." Chassé par l'invasion perse de 619, il se réfugia dans son île natale et y mourut quelques mois plus tard. On rattache à la forme de son apostolat l'origine de "l'Ordre religieux et militaire des hospitaliers de saint Jean", appelés par la suite les chevaliers de Malte.

Prière

Prions pour les personnes sans domicile fixe et les personnes pauvres.

Sachons prêter attention à ceux qui sont dans le besoin près de nous."

 

Lu sur le site Hozana, un site de prières. Secourir et participer à faire en sorte que l'humanité ait suffisamment évolué pour que tout le monde puisse vivre dignement, nous l'espérons tous j'espère.

Ne quittons pas en si bon chemin l'univers de la chanson qui fait du bien (rapport à Mireille, voir posts précédents) :

 

 

                                      ♣♣♣

 

Extrait de la nouvelle intitulée Le chiffre manquant, lue sur le blog Regards sur une vis sans fin :

 

"Cela suffit ! Pourquoi m’avez-vous suivi jusqu’à présent et que maintenant que nous sommes en présence d’une étrangère vous revendiquez une opposition à ce que vous acceptiez auparavant."

 

                                      ♣♣♣

 

Évolution dans l'espace. Ici

 

 

 

22/01/2018

Glissement dangereux ♣♣♣ L'homme-boucher

 

Après la récréation chansons,  atterrissage contrôlé avec la lecture du site La vie des idées. Notamment cette analyse des nouvelles dispositions concernant le secteur social par l'état :

 

"D’une action sociale compensatrice, nous avons glissé vers un secteur social compétitif, où la concurrence et l’activation des bénéficiaires sont les symboles d’une réaffirmation de la doctrine libérale dans le secteur du social (Donzelot, 2008)."

 

autre extrait du même article :

 

"Lorsque le projet de la Sauvegarde du Nord parle d’« innovation » à propos de l’embauche de 10 travailleurs sociaux intervenant de façon renforcée dans les familles en vue de diminuer le nombre de placements, les professionnels du champ médico-social ne peuvent manquer d’être surpris. La seule « innovation » est qu’un investisseur privé y indexe la rentabilité d’un placement financier sur un projet social qui relève de prérogatives régaliennes. En d’autres termes, l’innovation consiste à ouvrir de nouvelles sphères pour l’extension du marché, notamment dans un secteur qui en était jusque-là volontairement préservé. Traditionnellement en effet, dans l’action sociale, l’État pratiquait une délégation de service public auprès d’acteurs associatifs qu’il subventionnait, mais en restant le garant de l’application des règles du droit. Par le biais des CIS, l’État n’investit plus pour le bien commun, il délègue cet investissement à des entreprises privées à but lucratif envers lesquelles il contracte une dette, qu’il doit rembourser sur du très long terme et avec des intérêts importants. C’est, en quelque sorte, le principe de concession des autoroutes appliqué à l’action sociale."

 

Intégral :

 

 

http://www.laviedesidees.fr/Les-contrats-a-impact-social-...

 

                                                ♣♣♣

 

 

Pour ma part j'ai mangé durant la semaine dernière deux fois du poisson en boîte et hier un minuscule morceau de dinde pioché sur l'escalope de mon compagnon, donc ma consommation carnée baisse de nouveau de façon assez conséquente mais je ne suis pas encore redevenue végétarienne.

 

Extrait de l'article :

 

"En effet, pour Florence Burgat, la manducation de la viande par l’homme n’a rien d’une fatalité. Il s’agit d’une institution, c’est-à-dire d’une forme de construction du naturel autour d’une pratique progressivement instituée. La puissance de cette institution carnivore a ainsi imposé — petit à petit, et au fil de l’histoire de l’humanité — une séparation entre les hommes et les animaux. Selon l’auteure, l’alimentation carnée n’est donc pas un régime alimentaire comme les autres, mais « vise d’abord à normaliser un certain type de rapport aux animaux, qui définit en retour l’humanité (et l’animalité) à l’aune du partage entre ceux qui mangent et ceux qui sont mangés."

 

Intégral, ici :

 

http://www.laviedesidees.fr/L-homme-boucher.html

15:34 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

20/01/2018

La démonétisation et la planche à billets

 

pour sauver Wall street, démonétisation et planche à billets ?

 

"L'or c'est le canari dans la mine." = Si l'or meurt c'est qu'il y a de l'eau dans le gaz.

 

Le massacre de l'or ne serait pas bon et créerait beaucoup de chômage. Ici :

 

 

Le premier à faire actionner la planche à billets de façon dictatoriale était paraît-il un as du calcul mental. Comme quoi être un as du calcul mental ne mène pas forcément son prochain à la félicité. John Law obligeait les paysans français dans la période de la Révolution française à abandonner la monnaie pour utiliser ses billets et cela leur compliquait énormément la vie d'après ce que dit Pierre Jovanovic. Il y eut d'ailleurs la famine.  Par contre je ne comprends pas très bien Jovanovic lorsqu'il compare les billets à du PQ ; en effet si je donne à la caissière un rouleau de PQ pour payer mes courses ça ne marchera pas,  les billets ont bel et bien une valeur.  Ce que veut dire Jovanovic je pense c'est que d'aucuns imposent leurs propres valeurs pour en évacuer d'autres,  plus équitables et du coup ces derniers sont ruinés... on leur a confisqué la valeur de leur or. John Law,   ici :

https://fr.wikipedia.org/wiki/John_Law_de_Lauriston

13:11 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)