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26/12/2012

Voyage

Fin de l'extrait sur les briqueteries de Molinghem, et images de matériaux et constructions cette fois, en Amérique du Sud ; La musique est du voyage :

et maintenant, fin de l'extrait sur les briqueteries de Molinghem :

"Dix-huit ouvriers travaillent sur le site

Après 1970 par manque d’argile à proximité, on passe à la brique creuse fabriquée avec l’argile et le sable amenés par camion de Mazinghem et Rombly… De nouvelles machines servent à préparer la pâte, à la colorer, à la mouler, à la couper puis à la cuire. Le hall de séchage mesure 40 m de long, 18 m de large et 2m50 de haut. La ventilation est commandée et contrôlée électriquement…

Le four de cuisson a simplement été modernisé. Il fonctionne maintenant au fuel et la brique ne reste plus que huit jours au four… Actuellement la SA Briqueterie de Molinghem est l’une des cinq qui subsistent dans le Pas-de-Calais. Ne pouvant lutter contre les chaînes de fabrication belges ou hollandaises, elle vise la diversification et propose quatre-vingt-dix modèles de briques différents. Malgré cela, la crise est dure à supporter et l’entreprise n’emploie plus que dix-huit ouvriers…

Présent

La briqueterie de Molinghem a reçu récemment la visite d’un groupe d’adhérents de l’Association locale pour l’histoire de l’Artois. Sous la conduite de René Blarel, les visiteurs ont pu suivre toutes les phases de la fabrication restée traditionnelle, malgré les perfectionnements intervenus au fil des années. Cette visite s’inscrivait dans le prolongement de la publication de Germain Pouchain sur les briqueteries de Molinghem et dans le cadre de la sauvegarde du patrimoine entreprise par le musée d’ethnologie régionale de Béthune."

Par ailleurs, l’association ouvrira prochainement une bibliothèque dans un local mis à disposition par la mairie. En juillet, ses membres visiteront au bailliage d’Aire-sur-la-Lys, l’exposition sur le démantèlement des fortifications. 

Contact : 21 02 10 08 ; 21 02 11 49 ; 21 02 91 63.

J. Vincent 

Fin de l’extrait l’article mis précédemment en ligne (avant la série photos), lu sur une coupure de presse gracieusement offerte, parmi d’autres ; Concernant cette coupure de presse, il n’y a pas mention du journal d’où elle provient, ni de la date, mais je pense que l’article en gros est toujours d’actualité.

22/12/2012

La Robot attitude ou l'œil en veilleuse

Les vrais robots, c'est-à-dire les machines ne me dérangent pas, à condition de n'être pas nocifs pour l'environnement. Les humains qui se robotifient c'est par contre plus que très embêtant... Il faut combattre partout où elle s'insinue la robot attitude. Je viens de jeter un coup d'œil aux écrits de Heiddeger à propos du "bâtir", pour lui, habiter passe par le "bâtir" au sens littéral et pas symbolique du mot si j'ai bien compris. Pour moi, les nomades habitent les lieux autant que les autres, c'est une question de perception des lieux. Dire amen à tout, encore un indice de robotification. Le statut de l'autre ne doit pas détruire notre  propre capacité de penser à un niveau spirituel. Il ne s'agit pas de s'opposer "automatiquement", systématiquement, mais bien de penser aussi librement que possible. Pour en revenir au "bâtir" de Heiddeger, il en découle le droit de propriété que je ne conteste pas.  Le drame aujourd'hui, c'est qu'il faille passer par la case propriétaire pour ne pas risquer d'être mis sur la touche sur le plan matériel, être affranchi de la précarité assure souvent une plus  grande liberté de mouvement au niveau  de la pensée. La précarité peut figer, rendre prisonnier des diktats des autres, ceux-ci peuvent même devenir les notres à force de les subir...une sorte d'accoutumance morbide.      

"...Soulager la souffrance appartient au devoir médical."

 Ainsi, pour Eric Deschavanne, "administrer la mort pour satisfaire une 'demande' d'euthanasie, concevoir le geste de tuer comme une réponse plus ou moins automatique à l'expression d'une volonté de mourir [lui] semble incompatible avec le devoir médical, et tout bonnement avec l'interdit moral universel et ancestral de tuer son prochain"".  

18/10/2012

Environnement

"Franprix approvisionne 80 de ses 350 magasins parisiens par voie fluviale depuis fin août, une première dans la distribution alimentaire en Europe, qui pourrait être étendue à d’autres enseignes du groupe Casino… et à d’autres villes.

Annoncé en mars et lancé en phase de test le 27 août, le dispositif devrait permettre d’économiser à terme l’équivalent de 3 874 camions par an, et 37% d’émissions de CO2, selon une étude financée par l’ADEME qui compare les effets d’un transport exclusivement routier à ceux du nouveau dispositif."

Extrait d'un article de La voix du Nord du jeudi 4 octobre