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07/09/2016

Lu ce matin - exercices du matin

"Cet article soutient que le terme "État fiscal militaire" est impropre, particulièrement lorsqu'il est appliqué à l'un des cas paradigmatiques de la formation de l'État au début de l'époque moderne, l'Angleterre."

 

Une thèse est défendue dans l'analyse proposée par Steve Pincus et James Robinson, selon laquelle l'État moderne britannique — ainsi que d'autres États modernes probablement — n'a pas été forgé par les guerres et que c'est pour cette raison qu'il est peu enclin à s'engager dans les conflits armés.

 

"This article argues that the term “fiscal-military state” is a misnomer, particularly when applied to one of the paradigmatic cases of early modern state formation, Britain."

 

C'est ici :

http://www.cairn.info/resume.php?ID_ARTICLE=ANNA_711_0005

 

Exercices du matin, avec mes remerciements,

ici :

https://www.youtube.com/watch?v=Eg1HcNyo8pI

 

 ici :

https://www.youtube.com/watch?v=EaEZVfhn07o

https://www.youtube.com/watch?v=ZxcNBejxlzs

 

Et enfin, la méditation, avec l'harmonisation des trois trésors, ici :

 

https://www.youtube.com/watch?v=bXz9ZSVlSKo

11:00 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)

24/07/2016

Lu ce matin, l'histoire du quartier de catorive de la ville de Béthune

Tout à fait incidemment ce matin, je suis tombée sur ce blog qui parle du quartier de catorive de Béthune, où j'apprends qu'il y a longtemps se produisirent des tremblements de terre. Merci à ce blogueur de partager cette histoire.

L'extrait puis le lien pour le texte intégral :

 

"Le XI e et le XIIe siècles sont ceux de tous les malheurs pour la ville et Catorive.
 
Des tremblements de terre se font ressentir en 1013, 1080, 1086, 1093 et 1094. Ils dévastent la région, provoquent des inondations qui en ravageant les champs ensemencés amènent des famines. La région est aussi touchée par des épidémies de peste qui tuent plus de la moitié de la population. En 1093, le mal des ardents atteint Béthune. En 1188 une violente épidémie de peste sévit, de nouveau, dans la région.Une nuit, un maréchal-ferrant de Béthune, Germon, et un forgeron de Beuvry, Gauthier, font le même rêve : St Eloi, leur saint patron, leur intime à l'un de se diriger vers Beuvry, et à l'autre d'aller à Béthune. Il leur demande encore de créer une confrérie ou charité qui inhumera les morts. Le 21 septembre, ils se mettent en route, arrivés à Quinty, ils se rencontrent et se racontent leurs rêves. Ils prient puis décident d'aller prendre conseil auprès d'un moine du couvent cistercien de St Pry à Béthune. Celui-ci les encourage à créer la confrérie demandée et à se mettre immédiatement au travail. St Eloi ne les protége-t-il pas et ne leur a-t-il pas assuré qu'ils ne seraient pas atteints par l'épidémie? Aussitôt les deux hommes commencent à ensevelir les morts. Bientôt les habitants de Béthune et de Beuvry les aident dans leur tâche. Peu à peu l'épidémie cesse. Aucun charitable n'est mort et aucun ne mourra jamais, pendant l'exercice de ses fonctions, d'une maladie contagieuse...En 1346, Béthune est assiégé par les Flamands et ses faubourgs détruits."

C'est ici :

http://randonneursnoyellois.blogspot.fr/2010/02/bethune-l...

06:20 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)

02/11/2014

Les chars à voile

Nous approchant des chars à voile stationnés, nous avons lu sur l'un d'eux le nom "de La Fouchardière", si je me souviens bien.  Les chars à voile suivants ne portaient pas de nom inscrit sur leur carlingue. Y avait-il parmi les participants un monsieur de La Fouchardière, ou était-ce en la mémoire d'une personne portant ce nom qu'un pilote l'avait inscrit sur son char à voile ? Je suis allée consulter Wikipédia pour peut-être découvrir de la grande Histoire, liée à ce nom. C'est le cas en effet, un certain Pierre de La Fouchardière notamment fut un  résistant héroïque qui rejoignit Londres et se battit ensuite sur le terrain.

 

Lors de la lecture de la biographie de Pierre de La Fouchardière, j'ai cliqué sur l'un des noms des personnes qui furent de ses amis : Pierre Bourdan, et là, encore de la grande Histoire. C'est ici :

 

"Pierre Bourdan est journaliste dans les publications suivantes : « La Journée Industrielle », « Le Soir », puis devient sous-directeur de l'agence Havas à Londres. Il est à l'origine de « l'Agence française indépendante », à Londres. Il parle à Radio Londres de juillet 1940 à juin 1944, participe à l'émission « Les Français parlent aux Français ». En 1944, il est correspondant de guerre auprès de la division Leclerc. Arrêté, il parvient à s’évader près de Saumur ; caché à Longué par la famille Bloudeau, il écoute clandestinement ses amis de Radio Londres à Jumelles, chez Marcel Derouin. Il entre dans Paris aux côtés de la 2e Division Blindée. Son frère, Robert Maillaud (qui était sous-officier au 4e hussard), par contre est mort au front au cours d'un combat contre l'armée allemande le 10 juin 1940.

À la Libération, Pierre Bourdan collabore au « Figaro » et à « Bref ». Député UDSR de 1945 à 1948, il représente la Creuse à la Première Assemblée nationale constituante puis la Seine dans la Deuxième et à l’Assemblée nationale. Il est ministre de la Jeunesse, des Arts et des Lettres, chargé des services de l'information dans le gouvernement Paul Ramadier (1) du 22 janvier au 22 octobre 1947. À ce titre, on peut considérer qu'il est le ministre de la culture "créateur" du festival d'Avignon. Il élabore un projet de loi sur le statut de la presse, plaide pour la suppression de « l'autorisation préalable » qui régissait la presse. Dans le domaine des arts et des lettres, il institue l'aide à la première pièce, en faveur des auteurs dramatiques. Il est décédé en mer lors d'une sortie en voilier (un assassinat est parfois évoqué) en 1948. Sa femme, Jeannette d'Albiez, était d'origine catalane. Cette famille fera de nouveau parler d'elle (d'une autre manière) par l'activiste Stan Maillaud (né le 7 janvier 1968)."

 

 

05:40 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)