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24/02/2019

Le rôle du roi idéal ♣♣♣ l'initiation au maniement du bâton

Extrait de la note du 23 février 2019 du blog La faute à Rousseau :

 

"le roi de France Louis IX, auréolé de justice et de probité a pu autrefois jouer ce rôle (NP : d'arbitre) avec bonheur. Le congrès de Vienne, dans son acte final de 1815 manifeste un esprit d’arbitrage qui donnera à l’Europe une stabilité d’environ un demi-siècle. En revanche, les alliés de 1918, faute de cet esprit, créeront les conditions de l’explosion suivante dès vingt ans après !

 

Un arbitrage équitable tend à éviter l’écrasement du perdant ou du vaincu et à limiter ses désirs de revanche. Pour l’exercer, il faut disposer d’outils de niveaux adaptés, règlements, décrets, lois constitutions, traités, à créer éventuellement pour la circonstance, mais il est essentiel que cet esprit d’arbitrage et d’équité soit incarné par une ou des personnes reconnues par toutes les parties prenantes.

 

Dans le champ de la vie politique d’un pays, l’arbitrage, ou règlement des conflits est assuré en principe par les tribunaux, les fonctionnaires, les magistrats élus ou non, qui ont compétence pour exploiter les textes accumulés (et souvent inextricablement imbriqués) au fil du temps. Mais, me direz-vous, à l’échelle d’un pays comme la France, il faut bien un arbitre du denier recours qui soit investi durablement de la confiance de la nation, les textes les mieux rédigés ne peuvent suffire à régler tous les litiges et les conflits d’intérêt et d’ambition qui fleurissent si bien chez nous ! Qui est-ce ? Ah oui, le président de la République… Eh bien non, hélas, le président de la République n’est pas un arbitre. Pourquoi ? Mais parce que pour bien arbitrer, il faut se situer au-dessus de la mêlée et n’avoir à défendre dans la résolution du conflit aucun autre intérêt que le bien commun ; voyez le phénomène des Gilets jaunes, qui s’éternise et fonce dans l’impasse : comment le Président traite-il l’affaire ? En arbitre suprême ? Que non pas : il..."

 

Lien du blog pour le texte intégral : http://lafautearousseau.hautetfort.com/

 

Commentaire : Le roi idéal serait un homme de paix sociale : chacun pourrait vivre libre dans une société donnée, et dignement surtout : avec les ressources alimentaires et le gîte comme bien commun de tout individu afin que chacun puisse se développer harmonieusement.  

 

♣♣♣

 

Ici, jeu de mains est jeu pour affiner la motricité. J'ai un manche à balai de bois comme bâton pour m'exercer mais je dois le scier un peu. Merci Song Arun :

https://youtu.be/L85-bPljw6I

 

Un petit coup de bâton pour repousser l'agresseur vaut mieux qu'une balle ou un choc électrique. Bâton à bon escient, comme sceptre... guide royal ☻

 

23/02/2019

De mon point du vue

De mon point du vue, la vie est un don de Dieu à accepter avec gratitude, accepter aussi l'heure venue, où elle se retire du corps. Et moins il y a d'égoïsme et plus la beauté advient. Celle qui possède une aura éclairante.

Ce n'est que mon point de vue, qui je l'espère n'est pas original, partagé par beaucoup d'autres.

03:21 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

22/02/2019

Lu en début d'après-midi

 Ces paroles fortifiantes de Charles Journet :

 

"Charles Journet

 

Qu’est-ce enfin que l’Eglise? Avant tout un mouvement pour donner Dieu aux hommes. On la trouve à l’endroit où l’attente de la Parousie et l’imminence de l’éternité révèlent le prix inestimable de l’instant présent, du mouvement de l’histoire, de la naissance, du travail, de la mort des hommes; où l’on croit que la moisson sera, pour toujours, ce que les semailles auront été dans le temps; où le zèle du ciel engendre un désir brûlant de convertir la terre; à l’endroit où les hommes sachant que l’Amour a donné sa vie pour eux, essaient à leur tour de donner pour leurs frères leur vie et leurs biens, de porter leur fardeau, de ne point mentir; où se perpétue la mission évangélique inaugurée par le Sauveur et Ses apôtres; où les pauvres sont vêtus et nourris, les étrangers hospitalisés, les malades et les prisonniers visités; à l’endroit où les petits enfants sont reçus au nom de Jésus; où la bénédiction du Sauveur continue de les toucher par le baptême, où l’on sait qu’il est terrible de les scandaliser; à l’endroit où le péché est haï et le pécheur réhabilité, où l’on pense que l’erreur doit être détestée et celui qu’elle égare, aimé; où l’obéissance est sans bassesse et le commandement sans orgueil; où se rencontrent la magnanimité de porter le trésor de Dieu et l’humilité de le porter dans un vase fragile."

 

Sur Jubilate Deo

 

Elles sentent bon ces paroles !

Ce matin, j'ai fait mes séances qi gong et je sens mon cerveau tout content, je me sens satisfaite, de bonne humeur. J'ai aussi besoin de me recueillir dans les méditations chrétiennes de celles que je viens de lire par exemple. Tout cela est cadeau du ciel. Sans eux, pas de sel !