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19/11/2017

Yes ! ♣♣♣ La pause carotte

 

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Cette photo, je donnerai  ici le nom de son auteur(e) demain pour ceux de passage ici qui ne sont pas abonnés au Daily Ray of Hope, et je mettrai en ligne le poème qui l'accompagne, qui est d'une célèbre aviatrice américaine. Je la garde précieusement pour dessiner le vol des oiseaux. Quelle grâce n'est-ce pas ?  Nous sommes comme handicapés à côté de leur possibilité naturelle de "léviter" aussi élégamment. Pour les croyants c'est la manifestation de l'élégance de Dieu.

Pour l'heure je m'en vais tenter un envol sur tapis volant par le qi gong, pour ensuite assumer avec la forme certaines urgences du quotidien. À demain ! 

 

♣♣♣

 

Pause carotte (c'est une des choses  que je me permets de grignoter  comme en-cas), et pas devant la télé à l'heure qu'il est, où Patrick visionne sur une chaîne qui a l'air de fonctionner pas trop mal (car la 3 et la 2 sont toujours hors service) une émission triste :  un documentaire sur 11 vieilles dames violemment agressées jusqu'à ce que mort s'ensuive, à Paris dans les années 80 (je pense que, outre le qi gong, je vais envisager la pratique du karaté). Donc, Je choisis l'ordi pour ma pause,  et pourquoi pas écouter Barbara ? J'ai parlé d'elle ces temps-ci et cela fait un moment que je n'ai pas écouté l'hyper mélodiste, avec son timbre agréable.

Allez, c'est parti pour la chanson tandis que Jeannote a fini de manger la carotte. Je me souhaite bonne digestion en musique et à vous aussi.

 

 

 

 

   

14:15 Publié dans Musique, Note, Photo | Lien permanent | Commentaires (0)

17/11/2017

Chaînes brouillées et livre de chevet

 

J'ai renoué avec Plus belle la vie depuis quelques semaines, trouvant intéressants les thèmes abordés,  et traités de façon intéressante aussi, malheureusement la 3 a affiché "Hors service" hier soir. Y a-t-il une guerre des chaînes avec brouillage à l'appui ? Du coup je me suis rabattue sur une lecture, de Simenon avec son roman intitulé Train de nuit, où Maigret entre en scène plus que discrètement. Synopsis :  un breton, jeune marin, tombe sous le charme d'une belle méditerranéenne "aux grands yeux noirs" alors qu'il est fiancé avec Marthe, beaucoup moins jolie dit Simenon, (juste avec des yeux verts et des taches de rousseur qui plus est (ce qui ravirait certains mais pas lui, Simenon. Décidément !) Bref, ne voilà t-il pas que cette sudiste envoûtante, Rita,  fait partie contre son bon vouloir,  à cause d'un parcours accidenté dès l'enfance, de la pègre de Marseille, complice malgré elle de son frère aîné dit le Balafré, super caïd de cette pègre. Notre petit Breton,  telle Bécassine mais en plus sexy, se débat avec sa conscience lorsqu'il rencontre Rita.  Mais la beauté de Rita va peu à peu perdre de son impact sur lui, bien que Rita devienne de plus en plus émouvante, une sorte d'Edith Piaf sur le plan de la sincérité et du vécu. Elle prend pourtant tous les risques, y compris celui de la mort, pour sauver son jeune amant,  cela servira-t-il à quelque chose face à l'appel pressant d'une mère bretonne et d'une fiancée éperdue d'amour depuis la tendre enfance pour lui  ? À sa manière, Simenon en tout cas, n'abandonne pas Rita. À vous de lire ce roman ou cette longue nouvelle d'un Simenon avant Maigret. Le livre s'intitule Simenon avant Simenon et comporte cinq longues nouvelles ou petits romans.    

07:35 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

16/11/2017

En parlant de "types"

 

La photo que j'ai retenue, qui m'a fait ranger le Vocable de 2015 à part, car j'aime la chorégraphie des canards autour du jeune homme qui a l'air de prendre connaissance avec les premiers habitants d'un pays qu'il ne demande pas mieux d'aimer, qu'il aime déjà dans l'idée qu'il s'en faisait, cette photo donc m'a fait parler "d'une personne de type indien",  ce propos ne se veut pas dérangeant. Je me trompe peut-être, si cela se trouve le jeune homme n'est pas d'origine Indienne. J'ai entendu aussi parler de "type" me concernant, sur un plan physique. À Toulouse des voisins traumatisés par la guerre 40-44, de la génération de ceux qui allèrent en camp de concentration, parlèrent notamment de mon type physique. J'étais à Toulouse rue du Pont Guilheméry dans les années 1980. Un des voisins juifs,  quand il  me voyait faisait un écart, traumatisé qu'il était. Non pas qu'il voyait un monstre en moi, enfin j'espère, mais parce que je lui évoquais une "allemande type". Idem pour un autre voisin, juif également, traumatisé de guerre également. Et sa femme vint un jour me parler en ces termes  "Il faut l'excuser, il a tellement souffert à la guerre ! l'autre voisine a bien le type allemand (NP  : or elle était occitane, fille du cru en somme, mais il existe aussi des occitanes à peau très blanche et plutôt châtain clair), mais vous, continua-t-elle, je vois bien que vous êtes plutôt anglaise, je n'arrête pas de le lui dire, mais il ne fait pas la différence entre vous et l'autre. Moi je la fais. Et je vous prie de l'excuser."

 

Dans les années 1980 on faisait une sorte de retour de mémoire sur les horreurs de la guerre 40, les vieux souvenirs remontaient, plus traumatisants que jamais pour ces personnes.

 

 

  D'aucuns préfèrent ne pas parler du style physique faisant référence à une origine et je les comprends. Je le fais moi-même, et peut-être que je ne devrais pas.  Mais comme ma voisine compatissante de l'époque, je n'y vois pas de mal. Je mets ici deux photos, celle de mon aimable "indien d'origine", et celle de mon aimable anglaise... ou allemande peut-être, malgré son côté Simone Signoret je trouve.

 

À cette époque j'écoutais énormément Barbara, et aussi du rock, entourée que j'étais de rockers.  D'ailleurs, je n'étais pas non plus à leur goût à ceux-là, "de type" rockers,  pas plus que Barbara, musicalement parlant ; ni l'une ni l'autre n'étions assez teddy girl (de type) ! Donc je suis photographiée là par "accident" par un rocker de Toulouse, juste parce que je suis dans le sillage du rocker Patrick Vast.

 

Les photos :

 

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15:26 Publié dans Note, Photo | Lien permanent | Commentaires (0)