Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

06/03/2011

Tout un voyage

C'est devenu difficile de voyager pour nous qui ne voulons pas nous éloigner de Sam ; ce matin, je l'ai fait à ma façon, via une recette corse de biscuits à l'huile d'olive et à la farine de châtaignes. Cette fois je m'y suis pris de façon à ne pas obtenir des galets, comme la dernière fois, en les faisant plus épais, comme la recette l'indiquait d'ailleurs. J'en ai goûté la moitié d'un : très bon.  Plus tard, je me suis baladée en vélo,  tout un voyage ; les gens malgré le froid étaient nombreux à être sortis, que de visages  différents ! Il n'y a pas de type particulier dans la région : blonds, bruns, cheveux blancs, rouquins, grands, gros, petits : tout le monde vit ensemble ici,  depuis des siècles je pense, dans cette mixité sans souci ... ne  pas s'en créer tout un art qui jusqu'ici a plutôt bien réussi à la région. Hormis évidemment les périodes de guerre où tout à coup, tout est sans queue ni tête.  Patrick m'appelle, il est temps que j'y aille, à demain.

05/03/2011

Promenade à Robecq le 27/02

robecmaison.JPG

Photo Régine Vast

 

04/03/2011

Le vélo flambant comme neuf

La journée n'a pas été mauvaise. J'ai rendu visite à Samuel à l'hôpital, je lui ai trouvé un beau visage tranquille, nous avons bien marché, accompagnés d'un infirmier très sympathique, cordial. Après, il fallait rentrer à la maison où Patrick avait un entretien avec une journaliste au sujet du livre qui vient de sortir "Béthune deux minutes d'arrêt", j'avais décidé de m'occuper suffisamment longtemps dehors afin de ne  pas rentrer en plein interview. C'était sans compter sur les petits aléas de la vie. Après avoir garé la voiture au  parking de l'église de Robecq, dans l'intention de faire une marche dans les environs, j'ai repéré de jolis vélos exposés dehors, devant la devanture du magasin de cyclomoteurs. J'ai traversé la nationale, pour m'enquérir des prix à tout hasard, et me suis aperçue qu'il s'agissait de vélos d'occasion. J'en ai retenu un auprès du vendeur et lui ai promis de revenir très vite le chercher, je me suis donc retrouvée en avance à la maison, en plein interview,  m'échappant presque aussitôt, le temps de prendre mon sac à main. Plus tard quand je suis revenue avec l'engin flambant comme neuf, l'entretien continuait toujours. J'ai donc décidé de ne pas esquiver la journaliste, j'ai calé mon cycle contre une porte du vestibule et après un petit détour par la cuisine, le temps de me faire un thé, je suis entrée dans la salle et me suis installée sur le canapé "ne vous occupez pas de moi, continuez, continuez..." ; la personne étant très cordiale, nous avons finalement un peu discuté ensemble. Deux rencontres agréables dans une même journée, en plus de celle du fringant Sam. Et un bon vélo qui n'a pas coûté la peau des fesses.