Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

06/08/2009

Regard du dominant

dominant-445466.jpghttp://www.linternaute.com/nature-animaux/animaux-sauvage...

09:02 Publié dans Culture | Lien permanent | Commentaires (0)

05/08/2009

Poème par Mahmoud Darwich

SUR LE RIEN

C’est le rien qui nous emporte au rien.
Nous avons scruté le rien à la recherche de son sens ...
mais un rien ressemblant au rien nous dépouilla du rien
et nous eûmes la nostalgie de l’absurdité du rien,
car il est plus léger qu’une chose qui nous réifie ...
L’esclave aime un tyran
car la majesté du rien change la statue
en idole
et l’esclave hait le tyran
si sa majesté s’abaisse sur une chose
que l’esclave voit banale.
Il aime alors un autre tyran
né d’un autre rien ...
Ainsi le rien se reproduit-il d’un autre rien ...
Quel est donc le rien, ce maître renouvelé,
multiple, tyrannique, orgueilleux, collant,
bouffon ... quel est donc ce rien ?

Une indisposition de l’âme, peut-être,
une énergie refoulée
ou un railleur rompu
à décrire notre état !

Mahmoud Darwich

08:00 Publié dans Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)

Œuvres d'auteurs anonymes ou plus connus ...

"Pendant trois quarts d'heure, quarante-cinq textes, poèmes, passages issus de journaux intimes, chansons et extraits de saynètes de théâtre sont lus. Leur particularité ? Tous ont été écrits par des soldats durant le Première Guerre mondiale, qu'ils soient Poilus, Allemands ou Anglais.

Œuvres d'auteurs anonymes ou plus connus, à l'image de Blaise Cendrars ou Fernand Léger, l'ensemble aborde chaque thèmatique de la vie de ces hommes, allant de l'horreur vécue dans les tranchées à leur peur de la mort, sans oublier l'évocation de leurs souvenirs d'avant-guerre.

« Cette année, il s'agit de la deuxièmeédition. Nous avons choisi de conserver les mêmes textes que l'année dernière, car ceux-ci se composent comme un évantail complet des actions et émotions ressenties par les soldats », note Laurence Mortier. Afin que le spectateur puisse s'imprégner le mieux possible de l'intensité de ces textes, la mise en scène s'est voulue des plus dépouillées, avec les lecteurs tout de noir vêtus et une absence totale de jeu de scène."

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Arras/actualite/Secteu...

07:52 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)