17/11/2008
La géopoétique
"Un autre poète de la géopoétique m’est très cher. Son œuvre demeure toujours à la portée de la main et du cœur. Serge Patrice Thibodeau possède l’esprit nomade dont parle Kenneth White dans un essai éponyme. Écrivain voyageur, poète de l’errance, la rigueur de son regard, le tâtonnement de ses pas, déploient pour nous mille horizons. C’est un témoin de la Terre, un chercheur qui a réussi la grande traversée géopoétique de nombreux territoires. Le quatuor de l’errance, Le Cycle de Prague et Dans la cité s’insèrent dans la véritable communication de l’homme avec le cosmos. Ses récits de voyage apparaissent régulièrement dans Art Le Sabord. Tous ces écrivains, chacun à leur manière, construisent des ponts au-dessus de l’indifférence et nous conduisent vers le corps et l’esprit de la terre où nous augmentons notre capacité de ressentir, de voir et d’écouter le monde."
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16/11/2008
Fermetures autoritaires
"Les organisateurs de la manifestation souhaitaient porter à la connaissance du public les aspects négatifs du projet de loi, résumés ainsi par Yves Jardin, vice-président pour la Bretagne de la coordination nationale des hôpitaux de proximité. « Concentrations hospitalières imposées, fermetures autoritaires, loi renforçant l’autoritarisme et le centralisme, qui tourne le dos à toute démocratie sanitaire et qui conforte une vision de l’hôpital conçu comme une entreprise s’inscrivant dans la perspective d’une marchandisation de la santé ». « La loi Bachelot ne répond pas aux besoins des personnes et des territoires et elle livre l’hôpital public au privé », ajoute Yves Jardin, pour qui « seule la lutte pourra faire reculer le pouvoir »." Le Télégramme
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15/11/2008
Antoine Abel
« Dans ses poèmes, "Abel se veut le chantre de la vie de tous les jours, avec ses joies humbles et ses peines (17)", déployant un talent inclassable : "Dans quelle école classer Antoine Abel ? Il y a sans doute du Francis Jammes chez lui dans son amour des choses simples de la vie. Il y a aussi du Jacques Prévert, non pas le Prévert des chansons, mais celui de la contestation. Il y a du Robert Desnos par la fantaisie, cette véritable fleur de la poésie. Il y a de tout cela qui ne nous permet pas de lui mettre une étiquette. » ICI
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