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27/11/2008

Biographie de Rabindranâth Tagore

 

« En 1921, Tagore et l'économiste agricole Leonard Elmhirst fondent l'Institut pour la reconstruction rurale (qui sera par la suite renommé par Tagore en Maison de la Paix), à Surul, un village voisin de l'ashram de Santiniketan. Par ce moyen, Tagore pense procurer une alternative au symbole du mouvement de Gandhi, basé sur la revendication, qu'il désapprouve. Il recrute des spécialistes, des donateurs et des soutiens officiels de nombreux pays pour aider l'institut à mettre en œuvre la scolarisation comme moyen de "libération des villages des fers de l'impuissance et de l'ignorance" en "revitalisant le savoir". Au début des années 30, il se préoccupe davantage de "l'anormale conscience de caste" en Inde et du sort des intouchables, faisant des cours sur ces maux, écrivant des poèmes et des drames avec des protagonistes intouchables et appelant les autorités du temple de Gurovayoor à admettre les Dalits. » Toute la poésie

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25/11/2008

écoute

"Jacques Julliard, historien et journaliste de renom (Nouvel Observateur), est un intellectuel de gauche (de la seconde gauche), mais un intellectuel de gauche en voie de disparition : il est à la fois anti-totalitaire et chrétien, certain de ses engagements mais suffisamment intelligent pour aller puiser certaines de ses inspirations du coté d’une littérature catholique – qualifiée par certains de « réactionnaire ». Pour autant, il n’y a pas de confusion entre ses engagements politiques et ses convictions chrétiennes. « Je trouve » dit-il, « dans mon socialisme une manière d’exprimer des convictions chrétiennes ». Il proclame que les origines du monde démocratiques sont chrétiennes et que la gauche demeure parfois anticléricale par souci d’identité plus que par raison. Il y a là, dit-il, un « marqueur identitaire ». Critique à l’égard de la gauche, considérant qu’elle a sous-estimé la politique, il rêve d’un « pascalisme de gauche » à savoir une distinction des ordres, une prise en considération du mal et de ses ravages par tous ceux qui croient au progrès social.

Depuis quelques années, l’âge venant, Jacques Julliard semble rendre hommage à ses sources. En 2003, dans des discussions avec Benoit Chantre, il fait une sorte d’autobiographie intellectuelle. Titre du livre : « Le choix de Pascal ». Le livre vient de reparaître en poche. En 2007, il donne ses papiers et sa bibliothèque à la Bibliothèque nationale. Et là, en 2008, dans « L’argent, Dieu et le Diable » (et avec comme sous-titre : « Péguy, Bernanos, Claudel face au monde moderne ») publié chez Flammarion, il rend hommage à ses trois maîtres catholiques.

Comment lire ce livre ?

Il raconte ses rencontres, datées, précises, avec ces trois auteurs. Par ailleurs, il plaide leur cause face à ceux, surtout à gauche, qui les rangent dans cette improbable mais diabolique « France moisie ».

Ajoutons à cela une détestation commune contre le monde moderne. Julliard s’en prend au « fric », à cette perte du sacré, à ce nivellement par la marchandise. Il va même jusqu’à dire que trois morales (celle de l’aristocratie, de la chrétienté et des socialistes), apparemment opposés, sont, en réalité trois morales de l’excellence et de la solidarité collective. Et que ces morales sont maintenant battues en brèche par l’individualisme régnant.

Bel hommage, donc, par cet intellectuel, à ses trois maîtres catholiques." Canal Académie

 

 

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24/11/2008

Histoire

Page d'histoire sur Herodote 

05:13 Publié dans Histoire | Lien permanent | Commentaires (0)