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28/03/2020

Les dérogations pour certains ♣♣♣ soins des organes et de l'esprit ♣♣♣ Lu ce matin

Il y a des enfants qui ont besoin de sortir plus que d'autres. Je le sais d'expérience. Me concernant, c'est la nature environnante qui me permettait de canaliser un certain sujet débordant d'énergie. Comment font les familles confinées comptant des personnes à l'énergie difficile à canaliser si on les coupe de l'environnement, de l'extérieur ?

 

Je pense qu'il serait humain de tester les familles devant s'occuper d'enfants dans ce cas de figure et de leur donner des dérogations de sortie plus longues dans le cas où elles ne trimballent pas le virus. Sinon, donner le choix à l'enfant, et le laisser s'en aller, ou pas, selon sa réponse, s'il préfère, ou pas, aller dans des endroits plus spacieux pour lui, avec un environnement plus stimulant.

 

Nous savons construire des drones, nous serons bien capables d'offrir plus d'espace à ceux qui en ont besoin. Tout le monde n'est pas au stade de Bouddah, pouvant rester immobile des heures durant et bienheureux et actif en même temps.

 

Hier je n'ai regardé à la télé que le second film de la série Barnaby, et une partie du premier pour cause de sieste intempestive. Mais j'ai pu voir une bribe d'informations d'un journal télévisé  où, en bas d'image, écrit sur une bande on pouvait lire que la CGT faisait appel à la grève. J'ai été persuadée que c'était un mensonge. Personne ne pourrait se saborder ainsi. Vous imaginez les infirmiers en grève ces temps-ci. On pourrait appeler cette forme de désertion un assassinat de centaines de personnes. Je ne vois pas une institution quelle qu'elle soit s'auto décrédibiliser de plein gré. Je n'y ai donc pas cru.  

 

♣♣♣

 

Soins des poumons et des autres organes ainsi que de l'esprit. Je choisis donc une ou deux séances de qi gong parmi celles dont les liens sont dans les posts précédents. 

 

♣♣♣ 

 

Quelque temps plus tard, après deux séances, j'ai lu ce poème qui en dit long sur le désarroi de l'humanité dans sa presque totalité. Je dis "presque", car n'oublions pas les plus avertis d'entre nous... qui regardent la mort en face :

 

Ô rage, ô désespoir, ô virus ennemi,
Ai-je donc tant vécu pour voir la maladie
Envahir la planète, gagner chaque pays,
Et nous mettre à genoux en bouleversant nos vies ?

Monde qui te croyais bien plus puissant que Dieu,
Soudain tu t’arrêtas, fébrile, infectieux,
Te pliant à la loi d’un virus malicieux
S’attaquant tour à tour aux jeunes et aux vieux !

Ô cruel souvenir de notre vie passée,
Bonheur de tant de jours en un jour effacé,
Nouvelles dispositions pour la vie confinée,
Précipice élevé d’où tombe l’humanité !

Faut-il d’ores et déjà voir triompher le mal
Et mourir en silence au fond d’un hôpital ?
À l’heure où le progrès nous paraissait normal,
Force est de constater que la chute est brutale.

Et vous, par vos exploits glorieux médecins,
Infirmières, soignants qui du soir au matin
Vous donnez corps et âmes pour sauver le prochain,
Remerciés aujourd’hui, le serez-vous demain ?

Et toi, microscopique qui veux détruire nos vies,
Prions, prions sans cesse pour que tu sois détruit!
Va, quitte désormais le grand ou le petit,
Par la main de la Science à qui l’on te confie !


(J.-L. Delemar)

 

 

05:19 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

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