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29/06/2019

Boiron ou Boiron pas la tasse ? j'espère que pas ♣♣♣ La blouse à fleurs ♣♣♣ L'adoption ratée

L'intitulé est le charabia du jour. L'homéopathie aide une foule de gens. Peut-être une foule sentimentale de gens. Dont je suis un élément.

Extrait de la quatrième de couverture d'un livre écrit par Colette Lesens. LE SENS. Admiratrice du travail de Samuel Hahnemann :

 

"Samuel Hahnemann, étudiant surdoué, passionné et dévoué à ses semblables, surprend d'abord ses contemporains par ses travaux sur les effets du café ou sur les préjugés contre le chauffage par le charbon de terre. Expérimentant sur lui-même l'écorce de quinquina, remède populaire contre la malaria, il constate qu'à forte dose elle provoque sur son organisme des troubles analogues à ceux de cette fièvre mortelle. Il a l'intuition géniale du principe de similitude : les semblables sont guéris par les semblables."

 

Commentaire : n'ayant pas lu le livre encore (je suis allée le chercher hier à la bibliothèque municipale d'une petite ville pas loin de Béthune), je ne vois pas de quel préjugé il s'agit concernant "le charbon de terre" mais ça ne doit pas concerner à mon avis le charbon des mines...Si ? alors c'est que personne sur terre n'est parfait. On ne parlait pas encore du réchauffement climatique à l'époque de Hahnemann.

 

Suite de la quatrième de couverture : 

 

"Dès lors, ouvrant une voie nouvelle dans l'art de guérir, fondée sur l'expérience, l'observation précise et le respect du malade, le docteur Hahnemann engage un fascinant combat contre les préjugés et les dogmes éculés des médecins de son temps. Sa conception novatrice de la médecine, son approche individualisée du patient et de sa maladie, ses découvertes et ses brillants succès face à la syphilis, la fièvre scarlatine, l'épidémie de typhus de 1813 ou celle du choléra en 1831 seront à l'origine de la formidable aventure de l'homéopathie."

 

♣♣♣

 

Ce matin, nous déplaçant pour le travail du Chat Moiré, nous sommes allés à Berck. Une fois la démarche terminée, nous avons un peu baguenaudé dans la rue Carnot, et là, voyant Texti, j'ai eu une intuition ; comme quoi, je trouverai là quelque chose qu'il fallait acquérir. Patrick me parle d'un éventuel nouveau jean pour lui, mais peut-être il y a autre chose me dis-je ; selon l'expression honnie par certains scientifiques "je le sens" ; Patrick part au rayon jeans et j'avise sur la droite des blouses. Un couple de septuagénaires commente un modèle, la femme demande mon avis "Regardez, c'est une robe tablier cette blouse, elle est belle hein ? Elle fait robe." "Oui, c'est une belle blouse" je lui dis.

Elle parle à nouveau à son compagnon "je vais l'offrir à grand-mère. C'est comme une robe." "Regarde le prix dit son ami."

J'en prends une deux tailles au-dessus de la mienne et vais demander l'avis de Patrick. Il me répond que ce sont des blouses de grand-mère. Je le sais, là n'est pas la question... de  grand-mères de milieux ouvriers qui ont toujours l'air bien propres sur elle. Je vois l'aspect pratique. Qu'est-ce que l'on doit être bien par cette chaleur, nu ou nue sous ce genre de blouse ! Au lieu de mettre des rideaux à la fenêtre afin que le petit bonhomme de la maison voisine ne soit plus dérangé de voir une sexagénaire en short, pourquoi ne pas mettre ce truc à fleurs coupe mémé ?

C'est une matière qui se lave facilement, le tissu à fleurs fait qu'il n'est pas salissant, ça sèche aussi très vite. Je suis rentrée à Béthune avec cette ample blouse sur moi. Bonne sensation. Ma peau respire. J'écris ces quelques lignes vêtue de cette blouse qui recouvre mes jambes jusqu'à mi mollets mais laisse les bras totalement dégagés : le bonheur du fait de cette respiration de la peau. Merci les grand-mères du milieu ouvrier, vous en avez dans le ciboulot: aspect nickel, bonne sensation, facile d'utilisation, toujours propres car faciles à laver. Je l'ai assortie avec mes mules à pompons. Pour balayer le matin devant ma porte, je m'acquitterai de cette tâche désormais vêtue de cette façon irréprochable, comme les infirmières, avec les fleurs en plus et moins les manches, moins le col. Le complet dégagement sous une allure traditionnelle. L'intégration avec des gestes simples. 

 

♣♣♣

 

Lascivement étendue sur le canapé dans mon ample vêtement fleuri, j'ai écouté une émission de radio sur l'échec d'une adoption, diffusée sur Europe 1. Pas de friture en passant par la télé. C'était riche d'informations diverses et d'humanité cette émission, dont vous trouverez le podcast en cliquant sur ce lien :

 

https://podcasts.apple.com/fr/podcast/christophe-hondelatte-christian-adopt%C3%A9-dans-le-vide/id1146402624?i=1000443144717

18:25 Publié dans Lecture, Note | Lien permanent | Commentaires (0)

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