02/03/2012
Réflexion matinale
Dodo la Saumure a dit en substance que l’exploitation des femmes en usine et celle des salons de massages particuliers sont similaires, sous-entendu : le travail est plus pénible encore pour les ouvrières que pour les autres dames. La nécessité de mettre fin à cette forme d'assistanat qu'est l'exploitation ne devrait-elle pas faire partie des préoccupations politiques prioritaires ? Un revenu minimum pour femmes et hommes dans la panade, servant à couvrir les besoins les plus fondamentaux de nourriture et de logement devrait donc être mis en place. Ces ex- exploité(e)s trouveraient enfin le temps de respirer et pourraient à la longue se dégoter des boulots intéressants, dans le domaine de l’écologie, par exemple. Ou des formations en vue de travailler à mi-temps ou temps plein, au choix, auprès de patients hospitalisés, étant donné le manque constant de personnel dans des établissements où sévissent même parfois des docteurs Raoust d'après ce que m'ont dit des téléphages. En ce qui concerne les messieurs en manque de sensations fortes, je ferai preuve d’humanité. Si j’étais responsable politique, serait remis pour eux au goût du jour, poupées gonflables ainsi que sex-toys à la pointe de la technologie, vibro-masseurs, robots tactiles, et autres inventions écologiquement recyclables. Concernant les poupées, en raison des impératifs minceurs d’aujourd’hui, elles seraient modernes et donc faiblement gonflables, les anciens ballons de baudruche n’étaient déjà pas vraiment recommandés autrefois aux consommateurs trop maigres, en raison de cas de lévitations involontaires qui avaient été signalés régulièrement dans les annales de différents commissariats. Sans compter la matière économisée pour la fabrication... "res ipsa loquitur".
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