Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11/12/2011

Imprégnation

le politique imprègne parfois nos rêves. Nul doute pour moi que celui qui m'est venu cette nuit découle de l'émission regardée dans la soirée. 

J’y vois deux femmes, dont l'une reste dans l'ombre ou dont le visage ne me revient pas en mémoire. Celle que je discerne me semble solitaire tout à coup, peut-être est-ce une marginale. Elle me dépasse en vélo, poussant fort sur les pédales, je la vois soudain petite fille zigzaguant sur une bicyclette sur laquelle elle vient de monter puis retrouvant son équilibre en prenant de la vitesse, la vision s'arrête là, elle est à nouveau adulte, me précède de quelques mètres, et peine à avancer malgré tous ses efforts ; elle s'aperçoit enfin que le pneu avant est à plat, met pied à terre et rebrousse chemin. Petit sourire poli lorsqu'elle me croise. Dans la séquence suivante, je la vois me regarder de derrière la vitre d'un autobus où elle devise avec son amie. Sa personnalité semble avoir changé, elle a l'air ironique une fois plus sûre d’elle-même.

Une autre séquence de ce rêve s'enclenche ensuite sur un décor tout autre. Contexte de forêt où un homme aimerait avoir un rapport sexuel avec une femme, il désire que leur relation soit uniquement sexuelle. L’émission où l’on a vu débattre une jeune féministe et une non moins jeune prostituée est à mon avis à l’origine de ce rêve. La femme de passage dans la forêt possède une voiture, il me semble qu’elle mène plus ou moins l’homme par le bout du nez.

Le vélo a d’abord fait son apparition dans ces courtes scènes oniriques. J’en faisais moi-même ainsi que l’autre femme. Puis, à défaut de son deux-roues, un bus prend le relais concernant la femme dont le regard sur moi devient plus froid qu'auparavant. L’inconnue de la forêt se balade quant à elle en voiture, sans doute symbole de pouvoir et d’argent. 

 

08:53 Publié dans Note | Lien permanent | Commentaires (0)

Les commentaires sont fermés.