01/12/2011
L'ami
La perte d’un ami est d'autant plus douloureuse qu'on en comprend pas la raison. Hier je me promenais du côté de la place illuminée en grande pompe, à la recherche d’un absent. Et puis ce matin les larmes me sont venues, quelqu’un, une grande personne décédée depuis longtemps m’occupait l’esprit, comme si elle avait éprouvé le besoin de me faire part de sa présence. Ces larmes sont apaisantes. Les chrétiens adultes pleurent peut-être ainsi à Noël.
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