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08/04/2013

Photo du printemps, prise hier + extrait d'interview de Gaël Giraud

"Pourquoi êtes-vous si critique à l’égard du projet de loi de séparation des banques ?

 

Ce projet de loi n’est pas ce qu’il prétend être : il ne sépare pas les activités de marché des banques de celles de crédit et de dépôt. Or, la nécessité de ce cloisonnement est essentielle : elle permet d’éviter que des opérations de marché ne mettent en danger les dépôts des citoyens, et restitue aux banques la capacité d’accorder des crédits aux entreprises et aux particuliers. Le projet actuel oblige juste les banques à filialiser une fraction négligeable et non pertinente de leur activités de marché. De plus, cette filialisation est un leurre : aucun moyen n’a été envisagé pour « sanctuariser » la filiale de la maison mère. Rien dans ce projet de loi ne permet d’éviter un scénario identique à celui de l’assureur American International Group (AIG), mis en faillite en septembre 2008 par une de ses microfiliales parisiennes."

 Télérama de cette semaine.

Printemps...

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07/04/2013

Photos, marche du jour

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20:22 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0)

Mort d'un enfant du Net (Télérama)

“J’ai tout de suite vu qu’il allait être
une anomalie dans le système
judiciaire américain, qui est très dur”
Martin G. Weinberg, avocat d'Aaron Swartz

A 60 ans passés, ce grand nom du barreau américain en a vu d’autres, et pourtant, ses yeux rougissent lorsqu’il se remémore son premier rendez-vous avec Aaron, accompagné ce jour-là de son père. « L’arrestation avait eu lieu dix mois plus tôt, et au départ, personne dans la famille d’Aaron n’avait voulu paniquer. Ses parents espéraient que les autorités voulaient lui faire peur un bon coup, mais que les charges seraient ensuite levées, ou allégées. Hélas, le MIT a maintenu sa plainte et le ministère public s’est porté partie civile à son tour… Quand j’ai vu débarquer Aaron avec son papa, il était très abattu. On aurait dit un lapin pris dans les phares d’une voiture. J’ai tout de suite vu qu’il allait être une anomalie dans le système judiciaire américain, qui est très dur – et extrêmement coûteux à tous points de vue – et qu’il allait forcément très mal vivre ses épreuves. Aaron m’expliquait être débordé par ses activités diverses, et devoir les mettre de côté pour préparer sa défense le déprimait totalement. » Keep true to the dreams of your youth./Restez fidèle aux rêves de votre jeunesse. Télérama :

http://www.telerama.fr/medias/aaron-swartz-sur-les-traces...