04/04/2021
La mise debout d'une personne ♣♣♣ Winter to spring ♣♣♣ Forces politiques dans un territoire donné ♣♣♣ Obligation de délivrance
https://fr.wikipedia.org/wiki/Temp%C3%A9rance
Le pessimisme de La Fontaine sonne comme un regret, un pardon demandé au Ciel dans cette fable intitulée Rien de trop :
Je ne vois point de créature
Se comporter modérément.
Il est certain tempérament
Que le maître de la nature
Veut que l'on garde en tout. Le fait-on ? Nullement.
Soit en bien, soit en mal, cela n'arrive guère.
Le blé, riche présent de la blonde Cérès
Trop touffu bien souvent épuise les guérets ;
En superfluités s'épandant d'ordinaire,
Et poussant trop abondamment,
Il ôte à son fruit l'aliment.
L'arbre n'en fait pas moins ; tant le luxe sait plaire !
Pour corriger le blé, Dieu permit aux moutons
De retrancher l'excès des prodigues moissons.
Tout au travers ils se jetèrent,
Gâtèrent tout, et tout broutèrent,
Tant que le ciel permit aux loups
D'en croquer quelques-uns : ils les croquèrent tous ;
S'ils ne le firent pas, du moins ils y tâchèrent.
Puis le Ciel permit aux humains
De punir ces derniers : les humains abusèrent
À leur tour des ordres divins.
De tous les animaux l'homme a le plus de pente
À se porter dedans l'excès.
Il faudrait faire le procès
Aux petits comme aux grands. Il n'est âme vivante
Qui ne pèche en ceci. "Rien de trop" est un point
Dont on parle sans cesse, et qu'on n'observe point.
La Fontaine
♣♣♣
Did not I remember that my hair is grey
With only a fringe of it left,
I’d follow your footsteps from wee break of day
Till night was of moon-light bereft.
Ne me suis-je pas rappelé que mes cheveux sont gris
avec une simple frange à gauche,
Je suivais tes pas dès l'infime pointe du jour
jusqu'à ce que la nuit fût privée du clair de lune.
Your eyes wondrous fountains of joy and of youth
Remind me of days long since flown,
My sweetheart, I led to the altar of truth,
But then the gay spring was my own.
Now winter has come with its snow and its wind
And made me as bare as its trees,
Oh, yes, I still love, but it’s only in mind,
For I’m fast growing weak at the knees.
Maintenant l'hiver est venu avec sa neige et son vent
Et je suis aussi nu que ses arbres,
Oh, oui, j'aime toujours, mais seulement en esprit,
Car mes genoux de plus en plus s'affaiblissent.
Intégral :
https://poets.org/poem/winter-spring?mc_cid=9cf9264d9b&mc_eid=87d1240a18
Et dans le poème intitulé Solitude, il dit :
My garden never is complete
Without a blooming rose,
Nor is my life, oh, solitude,
Without thy sweet repose.
Mon jardin n'est jamais comblé
sans une rose épanouie,
Non plus ma vie, oh, solitude,
sans ton doux repos.
♣♣♣
Les forces politiques en action sur ce territoire :
http://saint-eloy2014.hautetfort.com/
♣♣♣
Obligation de délivrance :
Ceci est de la documentation. Si l'on veut écrire un roman comme c'est mon cas (un deuxième), il faut savoir comment le monde évolue, ce qui se passe notamment sur le plan de l'organisation des institutions, du fonctionnement des mairies, des diverses assemblées, de sa justice, etc.
Merci pour tous ces renseignements, chers blogueurs.
J'en vois un autre (de blog), plein d'enseignements :
http://attacpoitiers.hautetfort.com/
14:33 Publié dans Blog Mémo, Poésie | Lien permanent | Commentaires (0)
27/03/2021
Plantes adventices ♣♣♣ Rectificatif
Plantes adventices :
♣♣♣
Modification pour cause d'erreur dans un post précédent, un des derniers :
Il s'agit du post concernant les bébés abandonnés dont il était question dans une émission de grande écoute sur la 2. Je n'avais pas vu le début de l'histoire de la jeune fille du Pas-de-Calais, ayant pris l'émission en cours et j'avais "reconstitué" à ma façon la partie manquante. J'ai supputé que le bébé avait été retrouvé dans une maison abandonnée. Je me suis trompée : en fait ce bébé fille a été déposé sur le bord d'un sentier dans un bois, enveloppé dans un paquet, par un homme qu'un promeneur a vu, et c'est le chien de ce promeneur qui, lors de la seconde promenade, est finalement allé renifler le paquet et a interpelé son maître.
Grâce au ciel le bébé n'a pas été tué par les géniteurs ou l'entourage proche. Ces personnes ont du moins obéi au commandement divin "Tu ne tueras pas." Ces parents biologiques avaient espoir en la providence sinon l'homme aurait enfoui l'enfant dans un buisson ou un fossé. Le bois étant un lieu de promenade il a compté sur le passage d'un promeneur. Il était moins une que l'enfant ne meure car le bois à cette époque n'était pas aussi passant que ne l'avait imaginé le malheureux. Le doute a dû l'assaillir il devait être dans une grande détresse.
La mère de Moïse, en détresse elle aussi, n'a-t-elle pas déposé son petit dans une corbeille étanche avant de le larguer sur les flots ?
Le début de l'émission :
08:01 Publié dans Botanique, Écologie | Lien permanent | Commentaires (0)
21/03/2021
L'écoute
Vers trois heures trente cette nuit, j'ai eu la chance d'écouter :
par ordre d'écoute :
* Pascalde Froment : "le journal intime de l'avocat Maurice Garçon de 1939 à 1945..."
* Jean Rochefort lit "Les Petites dames" de Raymond Queneau.
* "Nijinski, "Le clown de Dieu" lu par Bruno Cremer et Michel Bouquet.
Coulisser avec la roulette de la souris, ici :
https://www.franceculture.fr/emissions/les-nuits-de-franc...
05:17 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)