24/06/2008
Jardin
L’empilement provisoire de petites caisses à trous autour du rosier, en guise de « déroute-chats » n’est pas très esthétique mais l’enjeu en vaut la peine.
Ce sont des œillets d’Inde, escomptés gardes du corps (selon toute probabilité, censés retarder l’ennemi), qui entourent la clématite. Aucune attaque à déplorer pour le moment, pas même de limace. Par beau temps, il faut plutôt craindre les araignées. Quelques-unes s’en sont d'aileurs pris au mimosas qui a plutôt bien résisté. Excellemment bien protégé : le basilic cultivé sur les châssis de fenêtre du premier étage, qui se porte comme un charme. Victoire d’autant plus satisfaisante que chaque année, replanté à même la terre, il fane très vite (en prévision des attaques...) … et le laurier de la butte, j’oubliais, verni celui-là de pied en cap.
Mais revenons à l’étonnant fringant basilic qui semble approuver le jardinage sur balcon comme probablement beaucoup d’autres plantes à l’abri de leurs principaux agresseurs. Qu'attendent les citadins résidant en immeubles encore hésitants pour faire le régal des abeilles ?
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23/06/2008
MédiaPart : hommage à Jacques Derrida
"Quelle heure est-il ? Il est tard de t’écrire – comme depuis toujours : tel est le dessein de cette différée, correspondance ou écriture. Comment est-ce que ce qui est différée, et qui diffère, peut-elle jamais correspondre ? et qu’en est-il de l’heure de l’écriture, de cette écriture qui est la sienne ? Fait-il jour ? Lequel ? Et quoi de rêve en elle ? Quand s’éveille-t-il ce rêve ? Veille-t-elle à discerner ses débuts ? Entre veille et réveil : quelle heure est-il ? De quelle heure sont elles, correspondance ou écriture ?"
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Florence Nightingale
Nightingale s'occupa des pauvres et des indigents. En décembre 1844, en réaction à la mort de l'un d'entre eux dans l'infirmerie d'une workhouse, évènement qui fit alors scandale, elle devint la militante principale de l'amélioration des soins médicaux dans les infirmeries et s'attira immédiatement le soutien de Charles Villiers, alors président du Poor Law Board. Ceci la conduisit à participer activement à la réforme des Poor Laws, qui alla bien au-delà des soins médicaux. Elle joua par la suite un rôle décisif de mentor auprès d'Agnes Elizabeth Jones et d'autres infirmières en formation avant de les envoyer à la Liverpool Workhouse Infirmary. »
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