Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

19/03/2011

La maison grise

imm024_0.jpg

Lors de ma dernière promenade en vélo, sur la route de Mont-Bernenchon

Perle du jour (dont je suis l'auteure)

Une femme dans le bistrot où nous attendions le bus voulait échanger nos perte-monnaie...alors que le sien était plus garni, j'ai bizarrement refusé la transaction.

 

 En consignant quelques notes à propos du rêve de cette nuit (impubliables sur mon blog, car trop perso), j'ai fait une faute de frappe, écrivant perte-monnaie au lieu de porte-monnaie, trop drôle !

D'autre part, la phrase dénote le  surréalisme   des rêves, drôles et magiques parfois... comme quoi ils peuvent être, au contraire du Mauvais rêve de Bernanos (encore un roman que j'ai beaucoup aimé),  bourrés de... comment dire, outre les perles pas en toc qu'on peut faire en se les racontant, de bonnes infos sur une réalité soudainement vue autrement, ce que je trouve plutôt enrichissant pour ma part.

18/03/2011

Complément de la note précédente, introduisant l'extrait

En fait, c’est après avoir occis la vieille dame que l’assassin fait la rencontre décisive avec le prêtre,  tout au moins dans le deuxième roman où Bernanos entrevoit la possibilité d’une rédemption, il est possible en effet que le prêtre, deux fois en travers du chemin de cette femme, parvienne à l’arrêter dans sa course au néant.