06/09/2013
Le retour de Lulu
Celui que nous pensions parti à jamais, Lulu, nous est revenu hier matin. Dans un drôle d'état. Chaque année il part au printemps et l'été par intermittence, pour plus de trois semaines parfois, j'ai donc pris la décision début de ce mois de juillet de lui mettre un collier avec notre numéro de téléphone inscrit dessus. Sous les conseils de l'ami Pat qui le trouvait "un peu serré peut-être", j'ai desserré le collier afin de nous assurer qu'il n'ait pas une sensation d'étranglement. Hélas, le collier était trop lâche ensuite, la preuve en est que Lulu à passé sa patte à l'intérieur pour essayer de s'en défaire et l'a porté en bandoulière au final. Hier matin jour de sa "rentrée", voyant cela, j'ai évidemment enlevé le collier, il faisait encore sombre à cinq heures du mat et je ne me suis pas rendue compte de sa blessure tout de suite, sur ce, Lulu repartit en claudiquant un peu pour ne revenir que trois heures plus tard, heure à laquelle je découvris une large plaie profonde au niveau de l'endroit où il portait le collier. Résultat : douze agrafes posées par le vétérinaire attitré de Lulu. Plus jamais de collier. Au bout de ces deux mois d'absence non stop, il se scia limite en deux pour rentrer à la maison l'animal...humour noir je sais, j'en ai besoin en certaines occasions. Des photos du rescapé ? Pour vous servir :
Lulu part en croisière d'été, abandonnant ses maîtres sans vergogne.
En ce jour de stress avéré, je n'ai pas pris le temps de laver le carrelage, mais voilà Lulu agrafes posées.
Et de mauvais poil en plus le soir, car il veut malgré tout encore sortir.
Lulu n'a pas de souffre-douleur, pas son genre, il opte donc pour un câlin finalement.
En voilà un qui supervise... le courtisan attitré des maîtres reste sur son quant à soi, prend des distances avec les derniers événements, Nono quant à elle regarde de travers "ce traître de Lulu". Surprenants ces chats.
"Enfin bon, il faut faire avec."
10:30 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0)
À propos des betula de Busnes et du noyer
Si vous observez bien la photo, plus loin sur la droite, en fond de décor vous distinguerez les troncs des bouleaux (il y en a trois) et même un peu de leur feuillage à moitié caché à gauche par celui du noyer que l'on voit en second plan, Félix se tient à l'arrière de celui-ci, une laitue à la main.
Non, cette fois-ci ce ne sont pas des citrons que vous voyez, les feuilles vous le diront : ce sont des noix, il s'agit du noyer de Marie.
Marie la revoici, ma mère. Elle est la protectrice des bouleaux ("sacrés" pour Marie, dit Félix) et du noyer, c'est elle qui a planté un petit bout insignifiant de chose provenant d'un noyer, et ce petit truc, ressemblant à un bâton, est devenu le noyer magistral vu plus haut. Félix n'a pas l'air de trop aimer les arbres (à fruits non comestibles pour l'homme), quant à lui, il dit par exemple des bouleaux que ce sont des "bricoles" ce qui veut dire des choses sans valeur dans le langage courant d'ici. En conséquence de quoi, les bouleaux intimidés ont ce port humilitis... c'est aussi comme ça que des légendes se créent. Et pour finir regardons cette camomille :
08:18 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0)
04/09/2013
digestion et bonheur
Framboises du patio, "les framboisiers ça pousse partout" dit papa Félix, mais je n'ai pas envie de pavoiser sur les framboisiers, juste de manger et partager des framboises.
Tanaisie, les feuilles sont de la fine dentelle, les fleurs du soleil en herbe.
Félix me montre de jeunes citrons encore verts.
Voilà le citronnier.
Ce sont bien des citrons, ce citronnier va sur ses quatre ans, l'hiver Félix le met dans une véranda.
Félix est toujours dans une bulle de bonheur, grâce à sa dégourdie de grand-mère dit-il, qui le sauva alors que, bébé il rejetait le lait de vache, Sophie lui donna du lait de chèvre (maguette).
De la camomille romaine, il m'en a offert un plant sans compter la belle laitue.
Bébé on n'a pas pensé à me donner de lait de chèvre malgré mes cris incessants...
21:35 Publié dans Photo | Lien permanent | Commentaires (0)