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15/05/2017

Je viens de teminer la lecture du livre : "Sur le bord de la rivière Piedra...."

 J'ai aimé ce livre "Sur le bord de la rivière Piedra je me suis assise et j'ai pleuré..."

 

Cela parle de "rêves" qui donnent la transcendance,  permettent de s'élever,  il s'agit en fait, de foi... et ici,  celui qui la porte écoute et parle à une entité, la divine Marie,  qui le guide dans cette foi ;  recevoir le don de guérir autrui par cette céleste Marie  implique de l'audace, il doit en effet oser affronter la possible souffrance qui en découlera un jour ou l'autre puisque le monde n'est pas prêt à recevoir certaines choses.  Mais abandonner en partie "ses rêves"   afin que sa fiancée et amie n'en pâtisse pas (avoir à souffrir du mépris plus ou moins violent  des gens "rationnels" par exemple),  produira au contraire quelque chose de néfaste sur elle, qui s'était transformée au contact de la foi de son amant et qui voit, après cet abandon des "rêves" que lui avait si bien communiqués son compagnon,  sa vie redevenir si terne et plate qu'elle ne lui semble plus digne d'être vécue. Un livre qui va m'accompagner désormais.... De Paulo Coehlo.

Ces "rêves"-ci constituent en fait, une autre réalité .... de l'invisible qui parfois se rend visible (sans microscope) ou tangible à certains.

09:15 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

10/05/2017

Lorsqu'il est accordé aux cours d'eau le statut d'être humain

 

"Les membres des tribus Maoris indigènes néo-zélandaises se sont toujours considérés comme faisant partie de l'Univers — en communion et à égalité avec les montagnes, les cours d'eau et les mers.

 

En mars 2017, après 140 années de négociations, ils ont aidé un cours d'eau, le Whanganui, a obtenir le statut juridique le reconnaissant en tant que personne.  Cela signifie que polluer ou endommager le cours d'eau — le troisième plus long cours d'eau de la Nouvelle-Zélande — est désormais équivalent à nuire à un être humain."

 

Ici :

 

http://sierraclub.org/sierra/green-life/when-rivers-are-g...

08:06 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

05/05/2017

Un texte fortifiant ♣♣♣ écologie

 

Trouvé sur le site Jubilate Deo :

 

"... Mais Dieu a un autre regard posé sur nous et c’est à travers ce regard que nous découvrons ce qu’est l’humilité. L’humilité n’est pas une qualité qu’on se donne à soi-même à force d’introspection psychologique. C’est le fruit d’un chemin humain et spirituel. Sainte Thérèse d’Avila en parle comme une notion fondamentale pour la vie spirituelle. L’humilité naît de la croissance dans la connaissance de nous-mêmes en rapport avec la connaissance de Dieu.

Plus nous considérons qui est Dieu et qui nous sommes dans la prière, plus nous reconnaissons combien Il nous aime indépendamment de nos prétendus mérites, plus nous devenons lucides sur nous-mêmes. Nous atteignons comme dit saint Jean de la Croix, le centre de notre humilité (La montée du Carmel), c’est-à-dire notre juste place devant Dieu et devant les autres. L’humilité est ainsi un bon indicateur de la qualité de notre vie chrétienne: les vrais humbles sont les saints qui savent tout ce qu’ils ont reçu de Dieu et ne peuvent plus se croire au-dessus des autres. Celui qui est humble est ainsi lucide sur lui-même mais cette lucidité n’est pas une résignation: c’est le fait de se savoir à la fois imparfait, pécheur, infiniment aimé de Dieu et doté de talents pour servir le Seigneur. Etre ce que l’on est. Je ne connais pas de plus belle devise, affirmait le Père Jacques de Jésus. Voilà pourquoi l’humilité peut être un chemin de bonheur comme l’indique l’Evangile des Béatitudes."

 

♣♣♣

 

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09:24 Publié dans Dessin, Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)