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25/10/2018

Le film vu hier soir ♣♣♣ Enfermés dehors

 

Hier j'ai regardé sur Arte un film sur un couple jugé par la critique, comme s'étiolant. Et ce, à cause d'une histoire de fantôme.

 

Le monsieur faisait de l'escalade avec sa fiancée et voilà que celle-ci tombe dans une crevasse. Il n'a jamais dit à la femme qu'il a rencontrée par la suite et épousée, à quel point était profond son amour pour la première. Ce mari endeuillé de la première femme choisit de dire à la suivante son secret au moment où, dans un microcosme de la société anglaise où l'on veut perpétuer, presque coûte que coûte, le conte de fée du couple idyllique, le couple va donner une fête pour ses noces de ... "45 ans de mariage".

 

Le fantôme revient comme une fêlure de l'âme et pourtant, on peut voir les choses autrement. Du fait que le secret de l'homme est enfin brisé, j'ai le sentiment qu'après 45 ans de mariage, quelque chose pourrait se construire, de plus fort entre les deux êtres qui avaient ce fantôme entre eux.

 

Comme si il ne fallait pas "chasser les fantômes" hors de sa vie, mais les accepter comme des amis. Car le fantôme ici, ce n'est pas la morte, c'est le manque qu'a créé sans le vouloir la morte.

 

Si une chose de ce genre m'était arrivé, je pense que j'en aurais parlé à mon compagnon. À l'heure d'aujourd'hui, je prierais pour que l'âme du mort, devienne une âme amie et non pas un parasite. 

 

Charlotte Rampling utilise dans ce film sa beauté à bon escient, comme un outil pour nous faire mieux comprendre le sensible. Les autres femmes autour d'elle, hormis son amie proche, ont moins bien pris le temps, et l'on s'aperçoit qu'elle ne les dérange pas... on peut faire sien (NP "sien" = ramener à soi, du coup, pas de féminin)  la beauté d'une personne intelligente comme si celle-ci faisait bouger la bonne corde sensible chez d'autres, moins chanceux.

 

                          ♣♣♣

 

Hier j'ai parlé dans ma note des "enfermés" en prison constituée de murs, et PRELE nous rappelle les enfermés dehors, à qui les systèmes basés sur l'argent veulent mener une vie encore plus rude avant que mort s'ensuive. Cruauté hors norme que celle des hommes qui se prennent pour des dieux. C'est à la note du 24 octobre : http://prele.hautetfort.com/


   

 

 

19/10/2018

Service Réanimation

 

La gifle du jour. Attention,  une gifle qui ranime.

 

https://valtorta.fr/troisieme-annee-vie-publique-de-jesus...

08:54 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)

17/10/2018

La gifle

 

La gifle.

 

Quand je lis "les visions de Maria Valtorta", je me reçois une gifle. Je ne verse ni dans le sadisme, ni dans le masochisme.

 

Cette gifle remet tout simplement en phase.

 

"Se prendre pour un Dieu"  est dangereux dit Maria dans sa vision. Elle le dit par le Christ. Parce que l'homme est faillible, et le devient de plus en plus lorsqu'il se prend pour un Dieu. L'homme doit cultiver l'humilité en somme, pour s'ouvrir à Dieu, mais il n'est pas Dieu. Il doit l'accueillir pour rendre digne son humanité. C'est une gifle dans le sens où l'on oublie souvent cela, et on voit combien les puissants de ce monde font d'énormes bêtises en oubliant cela. La planète en meurt.

 

Un extrait des visions de Maria Valtorta, ce jour dans Hozana :

 

 "Mais je parlerai aussi longtemps que cela plaira à mon Père. Ensuite, ce seront mes œuvres qui parleront plus encore que mes mots. Et mes mérites parleront plus encore que les œuvres, de sorte que le monde sera instruit, il saura et vous jugera. Ce sera le premier jugement porté sur vous. Plus tard viendra le second, le jugement particulier de chacun de vous à sa mort, et enfin le dernier : l’universel. Vous vous souviendrez alors de ce jour, de ces jours, et vous, vous seuls, connaîtrez le Dieu terrible que vous vous êtes efforcés d’agiter comme une vision de cauchemar devant les esprits des simples, alors que vous, à l’intérieur de votre tombeau, vous vous êtes moqués de lui et du premier et principal commandement : celui de l’amour, le dernier donné sur le Sinaï, que vous n’avez pas respecté et auquel vous n’avez pas obéi.
       C’est inutilement, Elchias, que tu n’as pas de représentations figurées dans ta maison. C’est inutilement, vous tous, que vous n’avez pas d’objets sculptés chez vous. C’est à l’intérieur de votre cœur que se trouve votre idole, ou plutôt vos idoles : celle de vous prendre pour des dieux, celles de vos concupiscences.(…)"

09:18 Publié dans Lecture | Lien permanent | Commentaires (0)